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Commentaire de Bertrand C. Bellaigue

sur L'ère d'influence de la prélature de l'opus terminée


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Bertrand C. Bellaigue Bertrand C. Bellaigue 15 juillet 2006 16:15

Attention Cambronne

Merci por vos eppreciations indulgentes.

1 - L’opus dei a connu une période faste qui semble t il a correspondu au franquisme . Dites moi si je me trompe.

Pendant chef de poste de mon agence en Espagne j’ai tenté d’étudier de près l’Opus en ayant avec ses représentant des contacts de type voltairien qui m’ont permis une définition assez primaire mais proche du but.

Le fait que cette institution ait été crée sous la dictature franquiste ne pouvait que l’aider dans on développement .et la compromettre dans la mesure ou il parait évident que tous ses membres étaient a la fois catholiques et admirateur d’un general qui « prétendait conduire un croisade contre le communisme ». On ne peut pas s’en réjouir. Il serait aussi un erreur de penser trouver trouer beaucoup d’humour et d’esprit de tolérance dans ce milieu. Mais sans vouloir refaire l’histoire on ne peut se demande si sous un régime républicain de front populaire, s’il n’aurait été possible d’un qu’un comme l’abbé Blaguer, n’aurait pas créer le même mouvement . Ce qui avait désigné sous le nom d’Action Catholique » dans les milieux « très-catho » de France n’avait il pas le même but ? Et les groupes « Charismatiques » ne sont il pas inspirés par le même esprit ?

J’ai demandé un jour à un de mes interlocuteurs de l’Opus quelle différence il y pouvait y aavoir ente un catholique très pratiquant ( messe basse quotidienne, bonnes oeuvres, prosélytisme etc.. ) et curieusement je n’ai pas eu de réponse vraiment satisfaisante. Alors j’ai pensé que cette différence est marqué u un « geste par quelque rite d’engagement, un vœu peut - être ) qui consacre l’intronisation d’un n nouvel impétrant, ensuite une « obligatoire » solidarité, une forme de secret peut être, et le fait qu’en affaire laïque on ait plus tendance à faire confiance à un »frère » qu’a un autre qui ne l’est pas. C’est probablement là que se trouve la déviance, rattrapée au vol par Jean par Jan Paul II qui en a fait un « prélature de sa Sainteté. L’avantage que pouvait avoir M. Navarro Vals, certainement numéraire de l’Opus, était sans doute le fait qu’il fût laic. Des personnages comme Mgr Di Falco, porte parole des évêques catholiques de France, ne courent pas les rues .L’intelligence de Navarro Vals, sa connaissance du milieu et son appartenance à l’œuvre devait garantir qu’il ne dévierait pas des dogmes ou des écritures..

.

La compagnie de Jésus est en place depuis des siècles et après avoir été mise un peu à l’écart elle reprend sa place normale .

Quand on connaît la formation du moindre prêtre jésuite , dix ans d’études , il est logique que la compagnie soit aux commandes . C’est comme l’ENA en France , souvent décriée mais indispensable .

Avec cette différence que les Jésuites n’ont jamais formaté des clones, mais des gens reconnaissables, mais d’une vive intelligence sinon de bonne cultures.

Bertrand C. Bellaigue


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