L’épuisement des ressources s’est déjà retourné contre la civilisation du gaspillage dans laquelle -hélas- nous vivons... Lorsqu’on s’est mis à donner de la viande à des herbivores (les fameuses farines animales données aux vaches), le « glissement » a commencé... La grippe aviaire en est un autre exemple.
Je pense que la folie des hommes (le sacro-saint « toujours plus ») ne pourra jamais avoir autre chose que des effets nuisibles qui vont s’empiler les uns sur les autres.
Essayons d’imaginer un empilement d’effets pervers, une série de catastrophes en chaîne... Les schéma ne manquent pas.
On plante des graines pour cultiver. Les oiseaux mangent les graines. Donc, pour protéger les culture, on chasse, tue ou élimine les oiseaux. Et voilà que les plantes sont saccagées par des insectes. insectes dont se nourrissaient les oiseaux. Manque de bol, plus d’oiseaux, ces cons d’humains les ont exterminé.
Un autre effet « cascade » ?
Les immeubles modernes, les « tours », les gratte-ciel comme on disait autrefois, on des « colonnes sèches » : galerie technique verticale où passent les fils électriques, le téléphone, le gaz. Et des colonnes humides : vide ordure, passage de l’eau (eau potable, eaux usées), éventuellement du chauffage. Pratiques ? Non, désastreux : ces colonne favorise la prolifération des cafards. On les extermine avec des pesticides. Manque de bol, les ’tites bébêtes deviennent de plus en plus résistantes (puisque ce sont les survivants qui se reproduisent) et aujourd’hui on ne sait plus comment les combattre.
En faire du surimi ?
Le plus grand problème de l’humanité, c’est l’homme...