Tous ca est digne d’un ado neurasténique.
Les Etats n’ont que des interets, car ils cherchent à survivre (« Le Salut du Peuple est la Loi de l’Etat »).
L’Etat, la politique est donc amoral (et pas imorale). Ceux qui le servent sont aussi amoraux. C’est leur force. Car cela signifie la rationalité, donc l’efficacité. Sans doute des croyances religieuses sur la démocratie, les droits de lhomme, les idéologies, et une identification maladive avec les faibles, les ratés et les parasites du monde peut émouvoir la populace. Mais cette éthique est personnel et individuel. Elle n’a aucune place dans l’espace laique de la politique (qui est de désigner l’ennemi, selon la définition célébre), et surtout n’est pas une moral collective : on ne va évidement pas sacrifier les interet d’un Etat et d’un peuple aux lubbi personnel d’un de ses dirigeants. Si ont veut faire de la morale, on devient curé.
Quand à Israel, il ne fait que répondre aux provocations divers des cinglés qui l’attaque. Sans doute que sa riposte n’est pas proportionné, sinon il balancerait aussi des centaines de missile au hasards sur les villes arabes.
Il est bien triste que les USA empéche Israel de régler définitivement le probléme.
Je ne vois pas ce que vient faire Berlusconni là dedans, dont l’action fut bénéfique pour les italiens.
« Mais n’oublions pas que l’ONU est issuent d’un contexte de guerre froide, guerre froide gagnée par les US et avec des armes simples : dialoguons en justifiant nos idées de théories politiques en accord avec la charte des NU. »
Non, l’ONU est issu de la seconde guerre mondiale, et les USA ont gagné la guerre froide par la forces des armes.