Bonjour Mr Reboul,
Avez vous un petit texte à nous proposer (lien) vers lequel nous pourrions nous reporter traitant de ce que nous considérons comme « bon » ou pas, explicitant pourquoi le malheur est toujours 1er ou presque, éthiquement... ?
Pourquoi le fait de voir ses sens flattés par la vision et l’odeur agréables d’une fleur n’est pas quelque chose a priori objectivement de bien (je conçois que parfois ce puisse être mal pour des raisons secondes)... ?
Ou encore voir une mère mammifère ou oiseau attentive à ses nouvaux nés ou à ses petits... ?
Le terme de « tendresse » trop connoté est peut être inaproprié pour un animal ??? trop anthropomormique ?? Ou la tendresse ne serait objectivement ni un bien ni un mal ??? (c’est pourquoi je demandais plus haut pour l’humour « combien d’Alpha et combien d’Omega dans l’oxytocine ?)... »...
On doit bien se demander à un moment si oui ou non on assiste à une évolution même autonome de la vie ou le contraire, et si oui, est ce vers des formes plus « souhaitable », (le mot est piégeux), y a t il objectivement « progrès » de la nature vivante (peut être plus grande élaboration, j hésite à utiliser le terme « esthétique » laquelle un jour peut être sera « mesurable », « évaluable » à défaut d’être « quantifiable »... dès lors qu’on saura à quelles règles mystérieuse elle répond...
Et bien sûr la conscience dans tout cela ???
Bien à vous.
Marc P