Commentaire de Sylvain Reboul
sur Ni Bible, ni Darwin (III). Où il est question d'intelligence humaine.
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Une épreuve est toujours nécessairement vécue comme telle, à savoir un conflit dont l’issue est menaçante pour la conscience de soi, mais la plupart du temps oubliée ou refoulée car portant le risque de la résurgence d’une possible angoisse (perte de soi et/ou de l’amour de soi) contre laquelle on a raison de se défendre en la conjurant par cet oubli même. La mémoire personnelle est sélective, sauf cas pathologique, elle préserve l’intégrité fictionnelle de l’idéal du moi fusionné avec celui d’une famille intégralement aimante qui nous sécurise pour l’avenir.. sauf que cette famille intégralement aimante sans conflit et sans désirs individuels divergents ou ambivalents n’existent que dans l’illusion d’une fiction consolatrice prise comme une réalité. L’illusion aide à vivre...Jusqu’à ce que...
Derniers commentaires
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24/07 14:55 - jean
Vous citez Bertrand Russell croyant peut-être nous impressionner... mais ce n’est pas le (...)
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23/07 20:03 - pingouin perplexe
Le propos de Danny me rappelle un peu la philosophie de George Berkeley http://fr.wikipedia.org/wik
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23/07 19:31 - danny
’’(nostalgie des razzias musulmanes sur les sciences & les savoirs des grandes (...)
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23/07 19:27 - danny
Au fait,’’ l’islamiste’’ comme tu dis, si seulement j’en (...)
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23/07 19:23 - danny
L’animal marsupio, si t’as rien de plus intéressant, va te suicider... On (...)
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23/07 19:15 - Marsupilami
Ouaf ! Et voilà que l’islamiste Daniq Ramadan nous fait un copiller-coller (nostalgie des (...)
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