@Renaud Delaporte
Très bonne démonstration, il n’y a rien à redire...sauf peut être que vous avez la mémoire courte ou alors selective :
Vous oubliez le rôle de la turquie pendant la guerre froide.
Vous oubliez que la candidature a été acceptée par les pays européens (y compris la grèce), bien sûr cela n’a été possible qu’avec le soutien des américains qui ont perdu des billes dans l’histoire. Lesquels, he bien, le procès contre le crédit lyonnais et le groupe pinault suite à l’acquisition d’un groupe d’assurance aux états unis (disparu comme par enchantement) par exemple et d’autres dont nous citoyen nous ne connaîtrons pas les transactions.
Vous oubliez la posture des turcs lors de la deuxième guerre d’irak qui n’était pas celle de Bush, mais bien celle de Chirac et Schröder.
Vous oubliez que le poids de l’europe ne sera qu’une chimère sur la scène internationale lorsqu’elle refusera un pays de culture trop différente. Dommage collatérale irréversible....mais cela n’empêchera pas le commerce, mais la férocité risque de s’élever d’un cran ( voir les appels d’offres repoussées suite à la loi promulguée ).
Vous oubliez que l’humiliation occasionné surtout par la france risque de lui faire perdre un partenaire incontournable lors des prochaines mutations. Dans tous les cas, les investissement anglo saxon arrivent en masse actuellement et qu’en est il de la france ?
Vous oubliez que l’adhésion pleine et entière n’est pas aussi manichéen que vous le penser. Dans les deux cas, les USA sont gagnant, mais une option est peut être plus gênante, je vous laisse deviner laquelle. Pour ce qui est du cheval de troie, à mon avis les anglais y sont déjà, non ? Mais les anglais ont une culture plus proche que celle de la france et la vision est très proche de celle de la france et de l’allemagne.
Mais je vous rejoins dans votre argumentation comme quoi les musulmans ne sont pas assimilable à la culture française et à fortiori européenne (à croire que l’europe c’est la France).
Erdal