Et les américains par ci, et les américains par là... Dites, vous n’êtes pas fatigués à force ? Les Etats-Unis, avec toutes leurs erreurs (et il y en a !) sont malgré tout les premier à mettre les c... sur la table et aller au charbon, pendant que les pays Européens tergiversent, gagnent du temps et ne veulent surtout pas froisser les dictateurs, leurs vieux amis.
Ils étaient où les grands droit-de-l’hommistes anti-américains, si prompts à fustiger Guantanamo ou Tsahal, lorsque Ali le chimique, le cousin de Saddam Hussein, gazait ses minorités ? Lorsque les talibans lapidaient les femmes en Afghanistan ? Ils fermaient les yeux, bien entendu.
Aujourd’hui, l’Afghanistan remonte la pente vers la stabilité, et le bourbier Irakien est savamment entretenu par les Islamistes qui refusent la paix et la démocratie car elle est incompatible avec leurs pratiques barbares et leur désir d’hégémonie d’une « Nation Islam » totalitaire. Mais là encore, nos chers gauchistes préfèrent critiquer les Etats-Unis (et son allié, Israël, dans la crise du Liban, bien entendu). plutôt que de regarder le monde objectivement. Ils font preuvent de belles oeillères politisées...
Bref, critiquer la politique américaine, c’est une chose, car elle est loin d’être exempte de reproches. Mais le faire systématiquement, et de manière aussi creuse que dans cet « article » (un paragraphe, aucun argument...), cela relève de la seule idéologie gauchisante et anti-capitaliste, de la seule propagande du petit soldat Rouge anti-mondialo-à la mode. C’est de l’acharnement idéologique sans fondement. Bref, ça n’a aucun intérêt.