Quelques idées et commentaires « en vrac » :
Les odeurs ammoniacales, d’urine, voire de poisson pourri sont attestées ce jour là au nord et au nord-ouest d’AZF, sous le vent d’SNPE, à partir de 4h du matin.
Pour qui connaît la recette des astrolites A et B, nul n’était besoin d’une fuite massive d’UDMH pour transformer NH4 NO3 en astrolite, surtout dans la tour de prilling des nitrates.
Une bombe anti-bunker n’était nullement nécessaire pour faire détoner le tas de nitrates déclassés, surtout s’il était partiellement imprégné de vapeurs d’hydrazine ou de l’un de ses drivés anhydres :
1)
une roquette RPG7, un missile filo-guidé Milan (dont un grand nombre est parvenu en Afghanistan, pendant le conflit soviéto-afghan, sous emballage égyptien) ou « la Petite » (surnom russe de l’équivalant du Milan) engins pas plus gros qu’une valise, pesant une petite dizaine de kg et portant à plus de 2000m etc. Et il existe un poste de tir idéal, d’une absolue discretion et pile dans l’axe du 221 et d’un rayon vu par un témoin)
2)
Des produits chimiques tels le CrO3 ou d’autres auraient aussi pu aisément initier une détonation
3)
Un arc électrique ou plus vraissemblablement un flux massif d’ondes électromagnétiques d’origine inconnue ... VA devrait revenir sur ce point à la rentrée.
Toutes Hypothèses en tout cas plus crédibles que le savant sandwich Na + H2O + DCCNa + Ni privilégié par les experts désignés.
L’hélico Ecureuil A350 fimé par M6, 6 à 7 mn après T2 (explo d’AZF) n’est pas celui de la gendarmerie. Ce dernier a survolé le site à deux reprises mais son premier survol se fit 10 mn après la cata. Certains supposent qu’il s’agirait d’un hélico des douanes.
Quand à l’hélico dont le son à été enregistré par une caméra de France3 Sud, 15 à 20 secondes après la dernière explosion, sa signature accoutique expertisée par le BEA atteste qu’il s’agit d’un Ecureuil ou d’un Puma. Puma que la PJ et les experts eurent tôt fait de situer « au roulage » sur le tarmac de Francazal ...à 2.500 m de la caméra et sous le vent !!!
Les juges anti-terro parisiens sont toujours à la poursuites des maîtres chanteurs des groupes AZF 1 et 2. J’en veux pour preuve la « rafle » d’il y à 10 jours, à Paris et Toulouse, assortie de GAV, de perquisitions et de saisies de matériels informatiques. Pour ma part, je me demande si ces « groupes AZF » n’ont pas été créés de toutes pièces pour justifier justement des écoutes, des perquises et des saisies chez ceux qui s’interessent d’un peu trop près à la cata d’AZF. Mais c’est juste une idée « comme ça » ...
JCT