@ miaou
Si je reprend vos propos :
« traitements à appliquer aux incroyants dans les textes fondamentaux de l’Islam, harangues de Al Kaïda sur la restauration du califat... »
Pour le premier terme, l’Islam n’a pas le monopole ce type de textes. Le bûchers embrasés en Europe pendant tout le Moyen Age, les procès en sorcellerie qui se sont tenus pendant deux siècles ne sont pas mal non plus. Et les tribunaux de l’Inquisition ?
Vous me rétorquerez que ceci ne se trouve pas explicitement dans le Nouveau ou l’Ancien Testament. Soit. Mais ils ont été justifiés par l’Eglise sur des bases religieuses.
Quand à la restauration du Califat, elle est juridiquement impossible au point de vue du droit musulman et ce, depuis son abolition par la république turque lors de la déposition du dernier sultan ottoman.
Vous noterez aussi qu’à l’époque, personne n’a tenté de reprendre le flambeau..
Pour ce qui est de la colonisation, la religion n’avait pas tellement son mot à dire à l’époque de la Troisième République anticléricale mais cependant, sous Charles X, lorsque débuta la colonisation de l’Algérie, il existait un espoir de rechristianisation de ces territoires et qui n’est toujours pas abandonné.
Ce n’est pas sans arrière pensée que l’Eglise maintient ses « évéchés virtuels » comme celui de Parthénia en Mauritanie et qui a échu à l’néffable Mgr Gaillot.
Mais, au fait, pourquoi ce désir obsessionnel de voir apostasier les Musulmans ?
GazI BoraT