Comme le dit Clairette, cet article ne constitue pas une apologie à l’esclavagisme moderne.
Il faut parfois interprêter chaque situation selon les réalités en place.
Si en France ou dans certains pays afriacians, les enfants ou les fillettes ont la possibilité d’aller à l’école ; eh bien, ce n’est pas le cas du Burundi où plus de 80% de la population vit en dessous du seuil de pauvreté et n’a pas des moyens pour envoyer leurs enfants à l’école.
L’Emploi de ces jeunes filles dans les ménages, constitue le seul issu pour un peu exister.
Empoyer ces jeunes filles dans ces ménages, c’est une autre manière de les occuper au lieu de les laisser dans la rue sans auxcune occupation pour qu’elles soient victimes des violences sexuelles et mourir du Sida, dans ce pays où le taux de prévalence du VIH/Sida avoisinne le 60% parmi les jeunes.
Et puis, bien que les parents de ces jeunes filles pouvaient disposer d’un peu des moyens pour envoyer leurs files à l’école, il faudrait aussi qu’il y’ait des classes pour étudier ; or l’Etat burundais n’a pas des moyens pour construire des infrastructures scolaires.
La combinaision de ces différents facteurs, fait que l’on soit tolérant au travail de ces jeunes filles mineures parce qu’elles sont d’abords occupées et intégrées dans les familles où elles travaillent.
Et puis, l’on a constaté que plusieurs filles sont devenues, après plusieurs années de travail de ménage, des couturières, vendeuses, couisinière grace aux formations acquises avec leurs maigres salaires perÇús.
Personne ne voudrait voir ses filles mineures travailler dans des ménages. Cependant, l’absence des moyens furent un grand handicap pour intégrer ces jeunes filles dans les milieux scolaires.
Parfois quand on n’a pas ce qu’on aime, on aime ce qu’on a, dit-on.