Assez d’accord avec ce commentaire même si les termes « terroriser son peuple » sont un peu fort si l’on veut parler du seul fait de répandre une rumeur de complot « mega-mondial » qui tuerait encore plus d’innocents citoyens que le 9/11 (D’où l’importance de parler d’au moins dix avions : il fallait marquer l’opinion en passant le seuil psychologique des 3.000 morts atteints lors du 9/11).
Evidemment, si ces termes visaient les attentats eux-mêmes, ce qui vous placerait dans le cercle de moins en moins restreint de ceux qui estiment que ces crimes sont en tant que tels imputables au pouvoir dans son ensemble, le terme « terroriser » serait évidemment plus justifié.
Ceci étant, je crois sincèrement que l’on manque de preuves à ce stade pour accuser des personnes ou un groupe de personnes de la commission des attentats du 9/11 et Londres, comme d’aucun s’y risquent de plus en plus.
Pas que je veuille absolument échapper aux quolibets du style « complotiste », « négationniste » ou autre nihiliste que les plus idiots utilisent à tout va (sans se rendre compte qu’ils viennent de devenir officiellement aussi « complotistes » que leurs ennemis). C’est seulement que je veux éviter de tomber dans les outrances et simplifications que l’on reproche à ces petits esprits.
Quoiqu’il en soit, il me paraît indéniable que nos gouvernements utilisent l’arme de la trouille, à coup d’alerte organge, de baromètre de la terreur disponible sur le site de Minitère des affaires intérieures anglais, autres ’ridiculosités’ en tous genres, pour tenter confisquer le sens critique de ses sujets. Et je suis relativement rassuré de constater que cela ne marche pas aussi facilement que cela ou qu’à tout le moins, ils ont été trop loin...