1. L’état, les impôts et le sport professionnel
La grosse partie de l’actuel ministère des sports devrait être rattachée au ministère de l’industrie : « sous secrétariat à l’industrue du spectacle de compétition à caractère sportif »
Le dopage de ces professionnels aussi réglementé et contrôlé que celui des autres professionnels (c’est à dire pas => économies). Les recettes et les « salaires » de tout ce petit monde gravement imposé. Ce serait dont un sous secrétariat qui rapporterait...
Me trompe je ou l’ancien ministre du 110m haies a été contrôlé et condamné pour dopage ?
Pour ceux qui ont aimé la ministre rouge, vous rappelez vous qu’elle a été longtemps interdite de stade de foute, mais qu’elle a été contrainte par la FFTennis et ses souteneurs, d’annuler tout contrôle inopiné ou longitudinal (on ne dérange pas un pro de tennis comme un vulgaire pro cycliste, le matin d’une compétition, matin=6h !!!) de « son premier » Roland Garros ?
2. Ministère de l’instruction (voire de l’éducation)
Le sport amateur peut être une pédagogie de la vie en société, de l’effort, de la solidarité... à condition d’être enseigné et encadré par des gens formés et informés, sur une durée décente et pas 2h honteuses dans la scolarité actuelle. Donc ça couterait cher, voir plus haut.
Pour information, puisqu’il paraît que cela peut invalider l’argumentation, j’ai fait 10 saisons de rugby (universitaire puis corpo), je coure 10km ou je cycle 50km chaque dimanche, gratuitement, au chocolat au lait + pain non beurré, et mon médoc préféré c’est le Médoc. J’ai 55 ans et je vis normalement (alcool, tabac et + car affinités) donc je mourrai normalement...