Article trés interressant et trés informatif, ce qui fut rare, en ces temps électoraux, plus propices au foisonnement des opinions.
La longueur peut être critiquée mais la compréhension d’un sujet aussi complexe exige un minimum d’efforts et l’auteur a su, par quelques formules rendre la lecture attrayante.
La question de la dette esrt un élément fondamental dans le débat politique actuel et, seule, la droite a su construire un discours simple (pour nepas dire simpliste) sur le sujet avec toutes les conséquences qui ont pu en être tirées : état dépensier = gabegie = gaspillage = trop d’impots, de fonctionnaires et de profiteurs (chomeurs, RMIstes etc)= besoin d’un homme à poigne pour "serrer les cordons de la bourse avant qu’il ne soit trop tard).
Il n’y a pas de contre discours à ce crédo parceque, justement, il faudrait une réponse trés technique pour le contrer : la parabole de l’état prodigue trouve un écho immédiat sur les esprits et n’a pas d’équivalent pour la thèse inverse.
Pour ma part, depuis le fameux « encore plus » de François de Closet (que j’apprécie beaucoup par ailleurs), je suis dans le malaise vis à vis de cette question de la dette publique. C’est pourquoi un article comme celui-ci, c’est du petit lait.
Reste à le condenser dans une parabole explicative assimilable par le plus grand nombre (Désolé c’est ainsi que fonctionne la communication acturllement, personne n’a le temps ni l’envie de s’attaquer à des developpements complexes).