Attention, il est important de préciser que le sionisme n’est pas du racisme : C’est une idéologie partagée par divers courants religieux ou non religieux : Certains groupes issus de la Chrétienté, du judaïsme ou du laïcisme se revendiquent comme sionistes.
De même, l’anti-sionisme n’a rien du racisme ou de l’anti-sémitisme comme veulent le faire accroire certains faiseurs d’opinions patentés. Il existe par exemple des Juifs contre le sionisme. (http://www.jewsagainstzionism.com/)
Mais il est certain qu’une frange notable issue de la mouvance laïque et athée soutient le sionisme, pour des raisons diverses et variées :
- vieux comptes à régler avec l’Islam, ou avec la Chrétienté et surtout l’Eglise catholique (Le sionisme est perçu par les laïcs comme un contre-pouvoir à l’Eglise vaticane).
- embrigadement médiatique.
- similarités idéologiques : goût commun pour le pouvoir séculier, gout commun pour un certain matérialisme, pour un certain progressisme, voire pour un certain militarisme, etc...
- infiltration du terrain laïc par diverses mouvances proches du sionisme.
A l’inverse, il y a toute une frange laïque, athée ou agnostique qui s’oppose au sionisme, considérant que le sionisme est une idéologie trop extrêmiste. Cette frange est géénralement plus proche des palestiniens, peuple islamique au demeurant.
N’en déplaise à certains, il semble assez évident que, de par ses diverses prises de position publiques, l’auteure laïque du livre fait partie du premier groupe davantage que du second...