@ Ludovic Charpentier. Merci l’avoir lancé ce pow pow sur un sujet récurrent et qui, à mon sens, doit trouver un jour une solution.
J’ai travaillé quinze ans dans la communication interne des entreprises. Évidemment, pas de troll, puisque tout est relu avant publication.
Par contre, le principal problème rencontré était l’autocensure par peur du jugement porté par la direction... et les collègues ! Les trolls se ramassent à la pelle devant les machines à café.
En limitant les messages insultants, Avoravox élargira sa base de rédacteurs. Comme deux plus deux font quatre. Parmi eux, j’en mettrais ma main à couper, de nombreux techniciens/praticiens de sujets intéressant tout le monde, pour lesquels l’exercice de rédaction est aussi étranger que pour moi de régler une ligne de production, mais qui se lanceraient bien s’il n’y avait pas tant de coups à prendre.
Je suis certain qu’Agoravox ne pourra se passer de filtrer les réponses insultantes aux articles. La crédibilité du site à terme risque de s’en trouver ternie et le coup de polish sera d’autant plus difficile à passer qu’il le sera fait tardivement.
@ Carlo Revelli : Il est normal que les trolleurs aient été les premiers à s’inscrire lors du test que vous avez mentionné. Mais pourquoi l’avez-vous interrompu sur ce seul critère ? Ces trolleurs étaient aussi les premiers à désinscrire (en prenant comme critère l’adresse e-mail : il est plus difficile de changer d’e-mail que de pseudo et l’adresse IP est inopérante pour les personnes qui, comme moi, ne disposent pas d’adresse fixe).
Enfin, ma p’tite contribution aux idées concernant les cartons jaunes ou rouges :
- Hors sujet : carton pas méchant (au bout de trois le commentaire est retiré). Aucune autre conséquence (tout le monde peut se tromper). Avantage de recentrer les débats qui fusent dans tous les sens.
- Insulte : carton rouge. Le message est aussitôt retiré. Au bout de trois cartons (tout le monde peut s’énerver) le log est supprimé.