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Commentaire de mehdialami

sur Minarets suisses : un projet de « votation » qui fait du bruit !


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mehdialami 21 mai 2007 16:40

Dénonçiation :Trafique de drogue et d’organes humains casa - Paris saint germain - Suisse.

Des humains sont vendus comme pièces détachées pour répondre à la demande de riches malades en attente de transplantations d’organes. C’est un trafic lucratif organisé par des réseaux mafieux souvent en connexion avec le trafic de drogue et la traite d’êtres humains pour l’industrie du sexe (prostitution) c’est le cas de la délégation provençiale hay mohammadi casa-anfa où les nommés hmasi abdelghafar et Benbiga ont assassiner environ 70 personnes pour vendre leurs organes et huiles humaines en Suisse.

Selon Mme Vermot-Mangold : « Le trafic d’organes - à l’instar de la traite des êtres humains et du trafic de drogue - est déterminé par la demande. Les pays d’Europe et d’afrique ne peuvent assumer, à eux seuls, la responsabilité de la lutte contre ce type de criminalité. Les tendances récentes dans certains pays d’Europe occidentale en faveur de lois laxistes, autorisant plus facilement le don d’organes par des donneurs vivants non apparentés aux receveurs et donc d’abus, soulèvent de graves inquiétudes. » par contre le trafique de la délégation avec la Suisse contitue un commerce clandéstin et prohibé des organes et huiles humaines.

Le succès des transplantations d’organes ne se dément pas, tandis que se creuse nettement l’écart entre l’offre et la demande. En raison de la pénurie chronique d’organes, 15 à 30 % des patients inscrits sur les listes d’attente décèdent avant d’avoir pu bénéficier d’une greffe. Les organisations criminelles internationales ont repéré ce « créneau » lucratif et font pression sur des personnes en situation de pauvreté extrême, particulièrement dans les pays d’Europe orientale et en afrique, pour les inciter à vendre leurs organes mais à casablanca le prélevement est fait sur des vivants assassinés par intense torture utilisant une arme scalaire comprésseur à flux magnétique utilisé par almossad formant organisation criminelle et subversive avec l’éxtreme gauche contre rabat et se cachant dérriére le voile de l’administration à casablanca.(WAFA).

Cette situation soulève plusieurs questions d’ordre éthique : convient-il que les pauvres pourvoient à la santé des riches ? La pauvreté peut-elle être soulagée au prix de la santé humaine ? La pauvreté peut-elle compromettre la dignité humaine et la santé ? en plus le nommé raoul yacoubi ex-communié a créer l’antichrist, sorte d’homme dinosaure primates à impulsions bio-anthropoides criminelles assoifés de cranes fracassés à la moindre prononçiation du nom de jesus ou à la lecture du coran et comme il est relié à une caméra numérique et télécommandé par ordinateur branché sur son systéme nerveux et sur celui de ses victimes, il ne prononçe que des blasphémes et mensonges et tue ses victimes par une arme scalaire.

Cette organisation s’adonne au trafic d’organes - à l’instar de la traite des êtres humains et du trafic de drogue - est déterminé par la demande. Les pays d’Europe à savoir la suisse, la hollande, l’Allemagne ne peuvent assumer, à eux seuls, la responsabilité de la lutte contre ce type de criminalité où s’étend le reseau de WAFA, Les tendances récentes dans certains pays d’Europe occidentale en faveur de lois laxistes, autorisant plus facilement le don d’organes par des donneurs vivants non apparentés aux receveurs et donc d’abus, soulèvent de graves inquiétudes.

L’Assemblée fait appel au Conseil de l’Europe pour concevoir, en collaboration avec les organisations compétentes, une stratégie européenne de lutte contre le trafic d’organes, et pour envisager l’élaboration d’un protocole additionnel à la future Convention européenne sur la lutte contre la traite des êtres humains. Par ailleurs, elle recommande que tant les pays dits « donneurs » que ceux dits « receveurs » prennent un certain nombre de mesures concrètes afin de diminuer le risque de trafic d’organes en Europe.

Au Maroc certains notables s’adonnent à ce commerce ainsi qu’a la prostitution et au trafique de drogue sur le plan international, ceci est conjugué parallélement avec la subversion contre la monarchie de rabat et sont résponsables de plusieurs coups d’Etat et complots, à leur éfféctifs plusieurs assassinats d’hommes d’Etat, de journalistes, universitaires, d’agent du service de renseignement de rabat. Leurs plans viennent d’Amos yadlin qui sabote la nation marocaine et veut renverser le pouvoir legal en vue d’établir une république confédérée avec israel et veulent s’attaquer au roi avec l’arme scalaire et se sont conditionnés à le faire et sont commandités par Senhaji abdelaal et Senhaji abdelwahid se trouvant au 63 boulevard Mohammed V casablanca, lieu de leur reunions secretes.

Ces criminels ne sont pas encore découverts par les autorités marocaines, se sont raoul yacoubi, Benbiga, le trés dangereux Othmani et hmamsi abdelghafar et zemmrani mohamed et zemmrani adnane et une tribu de barbares de khmis-zemmamra, tous aux commissariat hay mohammadi se cachant dérriére le voile de l’administration.

Les pays pauvres fournisseurs d’organes

Dans les années 1980, des experts ont commencé à remarquer une pratique baptisée par la suite “tourisme de transplantation” : de riches Asiatiques se rendaient en Inde et dans d’autres régions du sud-est asiatique pour obtenir des organes de donneurs pauvres. Depuis, d’autres destinations ont vu le jour, telles que le Brésil et les Philippines. Selon certaines allégations (rapport d’Amnesty International Trafic d’organes : le nouveau « business » chinois), la Chine ferait commerce des organes prélevés sur les détenus exécutés. La vente d’organes se poursuit en Inde malgré les nouvelles lois du pays, qui rendent cette pratique illégale dans la plupart des régions.

Selon Andrea Nicastro : "Aujourd’hui le principal marché de la mafia des organes est la Turquie, où des pièces de rechange humaines sont vendues et achetées, comme s’il s’agissait des pièces d’une voiture”.

En Europe, les trafics des humains pour vendre les organes se trouvent principalement en Moldavie, Bulgarie et Roumanie. Une enquête publiée dans la presse en 2004, a montré également un trafic d’organes d’enfants albanais orphelins. Selon l’enquete, des « enfants de Tirana ont été assassinés et leurs organes sont partis pour l’Italie et la Grèce dans les valises diplomatiques de fonctionnaires albanais » et évoque des histoires macabres de cercueils vides ou contenant des enfants dépecés ce cas similaire est vecu au maroc mais non encore découvert.

En Afrique, selon Lorenzo Sani : « Au Mozambique chaque année, un million de personnes sont victimes de la traite des êtres humains. Une infinité d’enfants, filles comme garçons, finissent entre les mains de trafiquants de viande humaine et traversent clandestinement les frontières du Mozambique. Le trafic est d’une ampleur impressionnante et il est si lucratif qu’il a même dépassé celui de la vente d’armes. Une partie de la traite humaine est dirigée par les trafiquants d’organes qui ont pignon sur rue en Afrique du Sud ».

Cette situation soulève plusieurs questions d’ordre éthique : convient-il que les pauvres pourvoient à la santé des riches ? La pauvreté peut-elle être soulagée en échange de la santé humaine ? La pauvreté peut-elle compromettre la dignité humaine et la santé ? Et, sur le plan de l’éthique médicale, l’aide aux receveurs peut-elle être apportée au détriment des donneurs, et en négligeant ces derniers ?

C’est pourquoi l’Assemblée condamne la tendance de certains pays d’Europe occidentale à adopter des lois laxistes qui autorisent plus facilement le don d’organes par les donneurs vivants non apparentés aux receveurs.

le trafic d’organes, à l’instar de la traite des êtres humains et du trafic de drogue, est déterminé par la demande. Les pays d’Europe orientale ne peuvent pas assumer seuls la responsabilité de la lutte contre ce type de criminalité. Parmi les mesures que tous les Etats membres devraient prendre pour limiter autant que possible l’incidence du trafic d’organes en Europe, on peut citer à titre d’exemples : la réduction de la demande, la promotion plus efficace du don d’organes, le

maintien d’une législation stricte dans le domaine des donneurs vivants non apparentés avec les receveurs, les mesures visant à assurer la transparence des registres nationaux et des listes d’attente, la définition d’une responsabilité légale des professions médicales dans la recherche des irrégularités et le partage des informations.


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