Commentaire de Richard Beer
sur Le père du biodiesel et les tristes tropiques
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L’initiative d’Expedito Parente, d’après ce qu’il m’a expliqué, ne va pas à l’encontre des « casseuses de Babaçu ». Au contraire. Elles sont (avec leurs enfants) environ quatre cent mille. Les coopératives de Parente visent à les intégrer. Comment ? En leur donnant notamment des outils, simples machines en l’occurrence, des plans d’organisation, de logistique... Il n’y a pas de mérite à casser des noix manuellement (ou plutôt si !), c’est un labeur dégradant et dangereux (surtout pour les enfants), même pour un homme adulte il s’agit d’un travail pénible. Et pas très rémunérateur. On peut faire mieux, et d’ailleurs la réflexion spontanée au sein des associations locales va déjà en ce sens.
Richard B., Rio
Derniers commentaires
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22/05 16:06 - Marsupilami
Je suis bien d’accord avec toi mais néanmoins je me méfie. Ce genre de projet se fait (...)
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22/05 15:53 - Richard Beer
L’initiative d’Expedito Parente, d’après ce qu’il m’a expliqué, (...)
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22/05 15:02 - Eric De Ruest
De plus, on voit arriver à plein né l’industrialisation de la culture de ce palmier par (...)
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22/05 12:00 - Marsupilami
Très intéressant. Mais que vont devenir les casseuses de bois de babaçu ? Article paru dans (...)
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