1) Dire NON, cela signifie qu’on ne veut pas de cette Europe qu’on nous propose.
Si la seule solution est une Europe liberale,cheval de troie de la mondialisation on peut ne pas en vouloir.
Si la seule solution qu’on nous propose est une Europe qui ne se concoit que comme vassale militaire et diplomatique des etats unis, il est assez envisageable qu’on lui dise NON
Si l’Europe est redefinit dans ce qu’elle implique de Geographie, d’Histoire, de Peuples, de Civilisations, de Religion pour n’etre qu’un club redefinit au profit de ceux qui aimerait y entrer, on peut ne pas la desirer...
Or le TCE et le mini traité de Sarkozy qui est son cheval de troie , c’est bien tout ça.
2) Si l’Europe est democratique il serait juste qu’on propose TOUS ces sujets aux europeens en expliquant bien chaque enjeu.
On peut le faire avec des referendums sur CHAQUE point ou en EXIGEANT de chaque parti qui postulera a une assemblee constituante de repondre clairement a ses options sur ces sujets.
Les points a traiter sont :
1) Pour une Europe vassale des etats unis, dans l’Otan
OU
Pour une Europe souveraine
2) Pour une Europe qui fixe (et en retire l’exercice a la democratie) les règles economiques et sociales acceptables
Ou
Pour une Europe qui accepte de changer ses systemes economiques et sociaux, en fonction des changements de conjectures, de majorité.
3) Pour une « Europe-projet », une Europe-recompense qui accepten tous ceux qui veulent bien y entrer
Ou
Pour une EUROPE qui est l’Europe, Historique Geographique, Humaine
Les sujets ne manquent pas, la reciprocité devrait aussi etre evoqué.
Pourquoi admettre dans un conseil des banques l’influence d’etats qui ne veulent pas d’une monnaie commune ?
Quand les hommes politiques seront plus clairs, les projets plus lisibles, il y aura peut etre un OUI.
D’ici la c’est NON, meme si le traitre, l’agent des etats unis essaie de nous imposer le TCE de force, en passant par la porte de derriere et en le rebaptisant mini-traité.