Hugo Chavez est un petit dictateur communiste minable antisémite qui a la « chance » d’être assis sur des réserves pétrolières considérables.
Le président vénézuélien a été accusé par l’Institut International de la Presse (IIP) d’étouffer les voix des médias ayant une attitude critique à son égard. De même, il a été très critiqué par le Comité pour la Protection des Journalistes (CPJ) et par la Société Interaméricaine de la Presse (SIP) qui lui reproche son « hostilité générale » à l’égard des éditeurs et des médias qui se disent « indépendants », des médias appartenant aux dirigeants de grandes entreprises ayant gouverné le pays avant Chávez. Lors de certains de ses discours, il a montré du doigt publiquement les journalistes présents. Cependant, la liberté de la presse est totale au Venezuela, et le gouvernement finance également les télévisions associatives. Il faut noter cependant que la plupart des médias nationaux vénézuéliens privés sont fortement hostiles à Hugo Chávez. Ils ont également incité le peuple à se soulever lors du coup d’État contre Chávez (démocratiquement élu avec 59% des voix), soutenant l’opposition proche des États-Unis et de l’ancien président Carlos Andrez Perez[13]. Les moyens utilisés par ces médias sont accusés d’avoir alimenté l’insurrection plutôt que de simplement la soutenir (diffusion répétitive des images montrant des blessés, imputation au président de la responsabilité des violences mortelles, annonce (inexacte comme on le sait) de la démission de Chávez, puis de son arrestation). Plusieurs ONG dont Human Right Watch relayeront également ces critiques du rôle des médias privés pendant le putsh . A contrario, la chaîne publique vénézuélienne Venezolana de Televisión (VTV), qui a joué un rôle important lors du coup d’État de Carmona, demeure un ferme soutien du président. En témoigne l’émission hebdomadaire « Aló Presidente », au cours de laquelle Chávez lui-même endosse le rôle d’animateur de talk-show répondant aux doléances des téléspectateurs...
L’écrivain péruvien Mario Vargas Llosa affirme que Hugo Chávez exerce un « populisme belliqueux », et l’accuse de privilégier l’exportation de sa « prétendue révolution sociale » aux besoins de son peuple largement miséreux [14]. La menace de Chávez, en 2001, d’expulser les étrangers qui « outragent le Venezuela ou ses autorités » a également fait l’objet de vives critiques.
En 2004 il reçoit le controversé Prix Kadhafi des droits de l’Homme de la Libye, remis auparavant à Fidel Castro.
Faisant suite à une coopération bilatérale initiée en 2001 dont le but affiché est de créer un partenariat stratégique, Chávez s’est rendu par deux fois en visite en République populaire de Chine pour signer des accords économiques avec ce pays qui considère le Venezuela comme son premier interlocuteur commercial et politique sur le continent sud-américain.
Le président Hugo Chavez a annoncé le 11 juin 2006 qu’il se rendrait en Iran et en Corée du Nord qui revendique la possession de l’arme nucléaire, pays faisant partie « de l’axe du mal » selon Washington, pour « renforcer nos (...) alliances stratégiques ». Le département d’État américain a ajouté en mai 2006 le Venezuela à sa liste des pays ne coopérant pas avec Washington dans la lutte contre le terrorisme. Sur ce thème le Venezuela demande, depuis 2005, aux États-Unis d’Amérique l’extradition de Luis Posada Carriles un terroriste et agent de la CIA, reconnu coupable d’avoir fait exploser en vol un avion civil cubain parti de Caracas, le 6 octobre 1976, provoquant ainsi la mort de ses 73 passagers. Cette demande reste toujours sans réponse fin 2006. Hugo Chávez accuse également les États-Unis d’avoir participé à son enlèvement lors du coup d’État de l’opposition.
Selon le Canard enchaîné du mercredi 26 juillet 2006, Hugo Chávez aurait, lors d’une visite à Minsk, le dimanche 23 juillet précédent, « loué le modèle social de Biélorussie », pays dirigé par Alexandre Loukachenko, condamné par le rapport 2006 d’Amnesty International. Lors de cette visite, Chávez a proclamé son intention de créer une alliance stratégique entre le Venezuela et la Biélorussie, au moyen d’une coopération dans les domaines scientifique, technique, industriel, pétrolier, gazier et militaire. Cette alliance serait destinée, selon lui, à « protéger la patrie contre les menaces extérieures et intérieures aux projets nationaux qui dérangent l’impérialisme, parce qu’ils sont fructueux ».
En visite en Iran, le 30 juillet 2006, Hugo Chávez, qualifié de « frère » par Ahmadinejad, déclare que les opérations militaires israéliennes en cours au Liban sont comparables aux « actes d’Hitler », en évoquant le « fascisme israélien »[12]. Il déclare également que l’Iran a le droit de disposer de l’énergie atomique, prenant ainsi parti en sa faveur dans les négociations qui opposent ce pays aux puissances occidentales.
Chávez a menacé les membres des Forces armées en disant que ceux qui n’approuvaient pas la politique du Président n’y avaient pas leur place, bien que l’armée soit, d’après la Constitution Bolivarienne, au service de la nation, et non à celui d’un individu ou d’un projet politique[2].
Les entreprises privées ayant des relations contractuelles avec le gouvernement sont invitées à se passer des services de ces personnes. Le logiciel Maisanta permet d’identifier rapidement les opposants de Chávez grâce à leur numéro de carte d’identité[3].
Le 4 septembre 2006, Hugo Chávez a annoncé l’organisation en 2010 d’un référendum qui permettrait de modifier la constitution afin d’abolir toute limite du nombre de mandats pouvant être effectués par un président. Cette proposition a été interprétée dans certains médias (Le Monde[4], le journal de 20h de TF1 du 3 décembre 2006[5], Challenges[6]) comme l’organisation d’une présidence à vie. Le président en titre serait pourtant toujours régulièrement soumis à l’épreuve du suffrage universel. Dans de nombreux pays - comme la France - aucune limite de mandat n’existe.
Le 18 janvier 2007, le parlement vénézuélien lui accorde des pouvoirs élargis pour une durée de dix-huit mois, en votant une loi l’autorisant à légiférer par décrets[7].
Accusations de corruption [modifier] Le journal Le Monde, dans son édition du 1er janvier 2007[8], dénonce la corruption du régime en particulier grâce aux pétrodollars. Selon Le Monde, Hugo Chavez a multiplié les structures destinées à « syphonner » les ressources de Petroleos de Venezuela et les réserves de la Banque centrale. Citant un diplomate, le quotidien donne l’exemple du Fonden « Fonds de développement national, un objet financier non identifié, un OFNI, une grosse tirelire dont l’usage dépend exclusivement du Président de la République et du ministre des finances ». Ces fonds ont des recettes de 22 milliards $ contre 60 pour le reste du budget. Selon Eleazar Diaz Rangel, directeur du quotidien Ultimas Noticias, favorable à Chávez, « un organisme comme le Fonden stimule la corruption ». La branche locale de Transparency International avance également que « le Venezuela se trouvait parmi les pays les plus corrompus d’Amérique latine, au même titre que le Paraguay, le Nicaragua ou le Panama et que désormais, le baromètre de la corruption de Transparency International le situe au sommet du classement régional, juste après Haïti. » L’ancien parlementaire Felipe Mujica affirme que Chávez « dispose de manière discrétionnaire des ressources de PDVSA, dont il a fait sa caisse noire. Les réserves de la Banque centrale ont été arbitrairement plafonnées à 30 milliards de dollars, l’excédent de 7 à 10 milliards de dollars étant mis à la disposition du Président de la République. »
http://fr.wikipedia.org/wiki/Hugo_Ch%C3%A1vez pour en savoir plus lisez aussi la version anglaise
que les huluberlus d’Attac soutiennent des gens comme ça, on ne pouvait atendre mieux. Tout ça rappelle les soutiens de la gauche à Milosevic et dans son temps à Pol Pot. Mais ça en dit long sur le parti socialiste...
la gauche française (du moins la partie qui soutient Chavez n’a pas d’excuses). Mais quand dans 10 ans on montrera les chambres de torture, certains diront « on ne savait pas... »
mon c....
16/01 13:48 - guiyaumed
Ah si cette épée pouvait tomber sur sa propre tête, ça nous épargnerait des articles aussi (...)
31/05 18:10 - Michel78
interéssant ces échanges de point de vue, le mien est que Chavez semble animé de bonnes (...)
31/05 16:48 - damocles
C’est ça. Staline est le sauveur de l’Europe, Castro celui de l’Amérique (...)
31/05 16:41 - dan
Et quant au soutien de Chavez à l’Iran, ce n’est que pure tactique car il se sent (...)
31/05 16:26 - dan
Le Monde n’est pas une référence d’objectivité et d’impartialité,c’est (...)
28/05 16:03 - Rand
Les chambres de tortures existent bel et bien à Guantanamo, tout le monde est au courrant, (...)
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