Commentaire de Florence Signoret
sur Ces héros anonymes, railleurs de douleur
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MERCI Madame Signoret. Merci Maman. D’avoir été là, au réveil de l’opération, à l’aube de cette vie nouvelle qui, à vingt ans, en un quart de seconde, un beau (! ?) jour de printemps 1990, a chamboulé la vie que je voulais avoir, celle de grand reporter humanitaire, qui devait me permettre de couvrir voire panser les accidents du monde, et que je n’ai pu mener à cause de cet accident... dans cette voiture. Grâce à ton sourire, 18 ans plus après, malgré cette douleur quotidienne due à la cohorte d’opérations à la hanche, j’ai toujours le sourire. Et je le garderai, à jamais...jusqu’à la fin. Sourire et rire pour vivre.
Derniers commentaires
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29/05 08:16 - Romain de Pescara
@Florence Merci pour votre réponse. Et puisqu’il s’agit de rire même lorsque le (...)
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29/05 02:02 - Florence Signoret
Merci pour ces témoignages personnels et boulversants. Mais, au delà de ma propre expérience, (...)
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26/05 17:28 - Arlette Signoret
C’est tellement vrai, Mab, il ne faut pas oublier « ceux qui étaient là » ! C’est (...)
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26/05 10:41 - mab
Et ceux qui étaient là aussi, mais qui n’ont rien eu qu’un amas de sentiments de (...)
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26/05 01:29 - Florence Signoret
MERCI Madame Signoret. Merci Maman. D’avoir été là, au réveil de l’opération, à (...)
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25/05 20:04 - Arlette Signoret
Quand la vie vous surprend au carrefour du Destin, aux dernières couleurs d’un jour de (...)
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