Bonjour,
Il faudrait un instant revenir à la finalité du journalisme ?
Et avant toute chose, je voudrais retrouver le nom de cette sociologue apparemment d’origine africaine qui s’est exprimé lors de cette table ronde et dire un commentaire de cela.
Elle a exprimé un message extrêmement grave et en contraste d’intelligence très fort (mais pas étonnant, vu leur grande culture) avec les quelque autres blancs (droit de blasphémer parait-il, ne me censurez pas juste pour ce mot) présent à cette table.
De son commentaire il faudra surtout retenir que l’on construit la banalisation des crimes pour mieux faire des affaires et probablement mieux préparer la 3eme guerre mondiale.
Quand les arabes et le africains s’expriment, leur pensée est redoutable, à côté, nous les blancs on n’est pas très futfut comme on dit en France (bien le bonjour au Québec)
Et malgré cela personne ne relève ses propos alors c’est ce que je fais comme elle en revenant sur la finalité de la presse, en introduisant par ailleurs une donnée de contexte cruciale.
UN : Le monde a l’air d’oublier quelque chose de fort simple.
Les pays riches ne sont pas des pays riche et les pays pauvres ne sont pas des pays pauvres.
D’abord parce que la richesse ne peut se calculer sur de l’argent mais sur les ressources à la fois naturelle et humaines.
Or l’inde prouve que ces dites ressources sont le levier d’un pays riche.
Ensuite parce qu’il s’agit plutôt de pays appauvris que de pays pauvres, et ceux par des pays enrichis plutôt que des pays riches, ce, donc sur ces pays appauvris, plutôt que des pays riches.
Vous me suivez ?
Exemple : Françafrique, suivez mon regard.
Si on a un peu le courage de voir la mal qui a été fait dans les pays (révolution verte, lait en poudre, corruption, usines chimiques, ....) on sait très bien à quel point certains de ces pays peuvent être révoltés.
Et je suis même étonné de leur clémence à notre égard.
Donc le blasphème n’est pas a regardé de manière isolé mais comme la goutte d’eau qui fait déborder le vase.
On tue à coup de pillage et d’affairisme immoral (qui a vendu les machettes au Rwanda ?) et en plus on accuse les autres en dessinant un arabe avec une bombe sur la tête.
On a l’air d’oublier qu’il ne s’agit pas de terrorisme mais de contre terrorisme face au terrorisme intellectuel et économique qui génèrent bien plus de souffrance et de morts que les quelques bombes de désespoir
Voila d’une part le contexte dans lequel l’information journaliste est à considérée, surtout avec des journalistes justement bien au courants de touts les crimes d’état.
DEUX : C’est toujours faciles de garder une distance avec les autres cultures pour dire que c’est pas grave alors je vais imaginer un blasphème pour le français et je vous invite à réaliser un concours du blasphème des blancs ; mais juste pour la démonstration d notre incapacité à l’empathie.
Imaginez un dessin ou l’o voit écrit en gros
RWANDA : 800 000 décapités
En dessous une machette ensanglantée et dessus encore apparent la mention frappée dans ce métal tueur (Made in France) en rappel aux armes françaises vendues en Afriques.
J’invite les grand dessinateurs à cette idée et à un concours de Blasphème, juste pour que me blanc se rendent compte de sa connerie (pardonnez ma colère)
Il y a des mots qui font bien plus mal que les torture physiques, allez demander à des gens qui ont subis les deux tortures.
TROIS : Or la finalité du journaliste est de donner une information voir de provoquer mais seulement dans le but soit de divertir les enfants que nous sommes dans le cadre d’une information qui demande du recul ou bien de dénoncer ce qui est injuste.
Le journalisme a pris les mêmes plis que le sport.
La logique financière lui a hotté sa logique professionnelle.
Ce que je veux dire c’est que les journalistes qui ont publié les dessins ne l’ont pas publié pour informer comme ils le prétendent, voire pour dénoncer (information + jugement) mais pour vendre plus de numéro et ce sur le dos des révoltés.
L’information doit conduire au progrès humaine, pas à sa destruction.
Allez plutôt enquêter sur la françafrique pour faire le mea-culpa de tout cela plutôt que de titiller ceux que vous avez achevez.
Les journalistes se suicident eux même en faisant cela car ils construisent tacitement à la 3eme guerre mondiale. Et n’auront pas le temps de rédiger les commentaires de cette guerre tellement elle sera féroce.
Je n’ai pas d’autres commentaires à faire.