@ Fabrice
Bien sûr qu’une revue financée par une municipalité ou une région ne risque pas de critiquer quoi que ce soit émanant de celle-ci... mais d’en faire l’apologie et de maintenir une ligne éditoriale sans vague aucune. C’est la loi du genre. Tant que ce magazine ne se proclame pas libre et indépendant, les règles du jeu sont très claires.
Quant à effectuer un vrai travail journalistique quand on est pieds et mains liés par les subventions... Je manque peut-être d’empathie, mais ce type de publication ne ressemble pour moi à rien d’autre qu’à un journal municipal ciblé « jeunes », écrit par ce que je préfère appeler des « communicants ». Y’en a dans toutes les villes, il ne s’agit pour moi en aucun cas d’organes de presse.
Mais pour en revenir à la Lettre à Lulu, désolée, je parlais du droit du journaliste à critiquer sur un support indépendant des mœurs concernant son propre employeur. De surcroît, sans se protéger d’un délit qui n’en est pas un par un pseudo anonyme.
Et en parallèle, répondant à ton commentaire sur tes lectures, je signalais que les miennes sont très variées.