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Commentaire de Shakti

sur Les Corses... et Kennedy


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Shakti 29 mai 2007 17:23

M****, j’ ai l’ impression qu’ Ahoravox a mal téléchargé mon post de précision sur Et :

- Ep(potentielle) < 0

- Ec (cinétique) > 0

- Et = Ec + Ep < 0 : corps lié

- Et = 0, corps libre

- Et > 0 : corps libre avec vitesse résiduelle v

Au passage, vu que j’ ai repensé cette nuit à cette histoire de « chute libre », laissez-moi préciser que cette illusion de chute libre est loin d’ être oubliée par la thèse officielle.

Reprenons depuis le début : un avion avec un réservoir presque plein percute le WTC à une vitesse de près de 500 Km/H, de par l’ énergie cinétique la structure est comprimise (poutrelle, coffrage en béton ....), puis a lieu un incendie qui entraine la déformation des poutrelles soutenant les étages ce qui cause par la suite l’ effondrement des étages touchés par cette déformation des poutrelles. Pour une raison explicitée plus bas, la conséquence première de cet effondrement d’ étage(s) est la perte de stabilité et pour chaque étage voisin de la catastrophe et pour l’ ensemble de la tour. Ainsi, on obtient une « singularité » dans la strucutre de la tour (manque d’ étages) qui rend les étages voisins plus fragiles, et si l’ excitation externe responsable des déformations (échauffement) continue, on comprend bien qu’ il faudra toujours moins de temps pour s’ effondrer aux étages restants selon qu ’ils seront peu nombreux (un peu à la manière d’ un film d’ horreur hollywoodien classique). Ainsi, lorsque les tours se dont effondrées, elles présentaient un manque d’ étages, les étages supérieurs atteignent ainsi les premiers étages inférieurs avec une grande énergie (différence d’ énergie potentielle entre l’ altitude de départ et celle d’ arrivée) qui eux-mêmes étaient instables et donc susceptibles de s’ effondrer.

Pour la raison de la stabilité : Archimede aurait dit un jour « Donnez moi un levier assez solide et un point d’ application et je vous retournes le monde ». Un peu prétentieutx mais vrai. Considérez une pierre d’ une masse m. Pour la soulever le plus simplement possible, on va coincer un levier en-dessous et au-dessus d’ un bloc solide (pierre par ex.) et appliquer une force sur ce levier de l’ autre côté du levier par rapport au point de contact (levier/2e pierre). Le poinds de la 1 ère pierre (celle à soulever) s’ exerce sur son côté du levier et impose donc une rotation potentielle au point de contact (levier/2e pierre). On appelle cette grandeur Moment de force et est défini par le produit vectoriel de la force F par la distance entre le point d’ application et le point d’ étude (ici la longueur du levier côté pierre à soulever car force appliquée au bout et on étudie ce moment au point O point de contact (levier/2e pierre)). Applique une force F’ de l’ autre côté du levier à une distance OP’ du point de contact, celle-ci entrainera un moment de force à ce point de contact de la valeur F’*OP’. Si ce moment est supérieur en valeur à celui imposée par le poids de la pierre à soulever (F*OP), cela va entrainer une rotation du levier par rapport à ce point de contact vers nous, donc un soulèvement de la pierre. Je ne présentes cette histoire de levier que pour introduire le moment de force et faire sentir que pour contrer l’ applicaion en un point d’ une force à l’ aide d’ une force moindre il suffit d’ appliquer cette force de plus loin.

Considérons une poutre métallique d’ une hauteur à l’ air libre H et d’ une hauteur de fondation h. La partie à l’ air libre H va subir les forces externes dont la portance du vent, cela va entrainer l’ appartition d’ un moment de force aléatoire (à cause de la nature du vent) sur la la base de la poutre. Si nous avons 4 poutres, chacune va donc osciller autour de sa base indépendamment les unes des autres (la tour Sears de Chicago connait ainsi une amplitude de mouvment de son sommet de près de 2 mètres par grand vent tandis que la tour Eiffel, trouée, offre uen surface moins grande à l’ action du vent, subit donc moins de forces et son sommet bouge moins. Imaginons que l’ on construive d’ abord le toit : les poutres seront donc liées entre elles et connaitront un mouvement d’ ensemble (le mouvement particulier de chaque poutre étant toujours possible mais dépendant de l’ altitude car l’ appication de la force (exercée par un étage sur les poutres) sur un étage particulier dépend de la distance. à l’ étage de liaison, le toit ici, l’ étage est lié à cahque poutre et exerce une tension sur chacune d’ entre elles visant à s’ opposer à leur séparation. C’ est donc bien chaque étage qui assure la stabilité des poutres, le fait qu’ elles bougent peu les unes par rapport aux autres, et la stabilité de chaque étage voisin. En effet, on devine que pour des étages uniformément répartis en hauteur, on aura

Contrainte exercée sur 1 étage = Contrainte totale (somme des forces exercées sur les poutres par l’ extérieur comm ele vent) / Nombre d’ étages.

Plus il y a d’ étages, moins les attaches entre chaque étage et les poutres, subissent une grande force. Faisons effondrer un étage, la tesnsion suboie par chaue étage augmentera donc de manière égale (en première approximation, en fait, les étages proches des étages effondrés seront plus mis à contribution que les étages plus lointains).

Ainsi, nous voyons que l’ effondrement d’ un étage, entrainant un augmentation de la contrainte subie par les attachjes reliant lezs étages voisins aux poutres. De plus, à l’ étage considéré (celui effondré) les poutres auront plus de libertés de bouger. Soumises au poids des étages supérieurs et par la nature de la répartition de cette force, elles auront tendance à pencher vers l ’extérieur et à s’ écarter les unes des autres. Cela va entrainer la déformation des attaches des étages voisins avec les poutres et donc leur nuire. Les poutres s’ écartant, les étages au-dessus du trou (niveau de l’ impact) vont donc tomber sur les étages inférieurs toujours plus fragilisés. On voit bien ainsi le fait que la chute d’ un étage ou groupe d’ étages du à une excitation externe perdurant cause un effet domino sur la tour entière. De par cet effet domino, il est facile de comprendre que la chute des étages devait être plus rapide qu’ en temps normal car l’ étage « victime », fragilisé, n’ oppose que peu de réacions à l’ effondrement des étages supérieurs, d’ où une vitesse se rapporchant de la vitesse de chute libre même si parfaitement distinct d’ elle. En fait, la vitesse a varié entre le cas de base (effondrement d’ étage supérieur dans une tour non stimulée et entrainant chaque étage inférieur l’ un après l’ autre après bris des attaches) et celui de la chute libre (chaque étage s’ effondrant et entrainant instantanément ses victimes (donc de liaison avec les poutres très faibles)) tout comme la déformation d’ un corps à température T est comprise entre celle à T = 0° C (peu de déformation) et celle à Tf (fusion) où le systême devient presque instantanément liquide (plus aucune liaison entre atomes). Cas particulier entre 2 cas extrêmes.

Conclusion : on ne peut mesurer précisément la durée de l’ effondrement du WTC à cause du nuage de poussières mais on voit bien que le fait que cette durée est été plus courte que dans le cas d’ un effondrement de l’ étage tout en haut entrainant chaque étage inférieur à la suite est naturellement expliqué et en accord avec ce que l’ on connait de la physqieu-chimie et des évènements déroulés le 11/09 et est naturellement expliqué par la « théorie officielle » du 11/09 et par la présence d’ un puissant incendie.

PS : désolé pour la clarté mais ce site est pas au top pour l’ écriture de formules mathématiques ou les dessisn techniques. Si mon post n’ est pas assez clair, vous pouvez m’ écrire.


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