bonjour,
paradoxalement, les différentes études économiques réalisées ces dernières années par l’ocde, l’onu et d’autres instutut économiques prouvent que pour assurer la pérénité de l’europe, il faut avoir recours à l’immigration pour compenser le déficit démographique.
avant de sanctionner les clandestins, ce sont les passeurs qu’il faut traquer : il ne se passe pas de semaines sans que les gardes-côtes européens de sauvent des immigants entassés dans des embarcations de fortune quant ils ne repèchent pas des cadavres. les passeurs sont suffisament malins pour passer au travers des mailles du filet contrairement aux immigrants qui cherchent de toutes les manières possible à améliorer leur vie et celle de leur proches.
le problème est lon d’être simple...
sur les naufrages :
- http://www.mondialisation.ca/index.php?context=va&aid=4257
- http://www.lefigaro.fr/international/20060731.FIG000000125_naufrage_de_clan destins_au_large_de_la_sicile.html
- http://mediterranee.france3.fr/emissions/mediterraneo/emissions/2005/756764 6-fr.php
concernant l’immigration :
- http://www.strategie.gouv.fr/revue/article.php3?id_article=11
« » (...)L. Schmid : Nous n’avons pas du tout parlé de la manière dont cela pourrait avoir un impact sur la politique de naturalisation. Le projet de loi s’appelle « Immigration et intégration », et au fond nous parlons beaucoup d’immigration en termes de flux, sans évoquer vraiment des processus d’installation pérenne. 40 % des immigrés sont français, c’est à peu près le même taux que le taux américain. Dans la politique de naturalisation telle qu’elle est actuellement menée, on a le sentiment que lorsqu’il y a enquête en préfecture, elle repose encore sur des critères qui ne sont pas ceux que vous énumérez en matière d’immigration économique.
P. Stefanini : Moi je crois que la France fonctionne avec un mécanisme d’insertion juridique de sa population d’origine étrangère qui est plutôt satisfaisant. Chaque année, ce sont plus de 140 000 étrangers qui accèdent, sous des formes variées, à la nationalité française. C’est considérable, c’est beaucoup plus qu’il y a six ou sept ans. Et c’est d’ailleurs ce qui explique que la population étrangère en France reste stable : l’accès à la nationalité française n’est pas aussi difficile qu’on le dit parfois. Je suis tenté d’ajouter que, dans une société où le taux de croissance est plus faible que dans d’autres pays européens, l’insertion par le travail est plus problématique que ne l’est l’insertion purement juridique que représente cet acte fort qu’est l’accès à la nationalité française.
Y. Chassard : Je voudrais ajouter que c’est aussi ce qui explique que, quand on regarde les statistiques, il y a en France relativement peu d’étrangers par rapport aux pays voisins. On a moins de 6 % de la population française qui est étrangère, 2 % de ressortissants des pays de l’Union, moins de 4 % (3,6 % exactement) de ressortissants de pays tiers, alors qu’on a pratiquement 9-10 % d’étrangers en Allemagne, en Autriche et même en Espagne.(...)« »"
- http://droitdesetrangers.blogspot.com/2007/04/la-ncessit-de-satisfaire-un-besoin.html « »"(...) dimanche, avril 29, 2007 La nécessité de satisfaire un « besoin d’immigration » selon les Nations-Unies
Pays riche et vieux cherche immigrés LE MONDE | 28.04.07
Comment les pays riches et vieillissants peuvent-ils éviter l’anémie dans les quarante prochaines années ? Les experts des Nations unies, qui ne sont connus ni pour leur goût de la provocation ni pour leurs talents de fantaisistes, ont pris leurs calculettes et la réponse tient en un mot : immigration. A l’horizon 2050, il faudra à la France, comme à la plupart des pays d’Europe, « deux fois plus d’immigrés » que dans les années 1990. Telle est l’une des principales conclusions de leur rapport, « Migration de remplacement : est-ce une solution pour les populations en déclin et vieillissantes ? » publié mi-mars par la division de la population du département des affaires économiques et sociales de l’institution internationale. Ce « besoin d’immigration », insistent ces experts, devra impérativement être satisfait. Faute de quoi, le « déclin » de la population sera « inévitable ».(...)
S’appuyant sur l’étude détaillée de huit pays à basse fécondité (Allemagne, Etats-Unis, Fédération de Russie, France, Italie, Japon, République de Corée et Royaume-Uni) et deux régions (Europe et Union européenne), ce document présente les différents scénarios possibles, en fonction des tendances démographiques à l’oeuvre - baisse du taux de fécondité et accroissement de la longévité notamment - et des choix politiques qui seront faits... ou pas. Exemple : la France veut avoir, en 2050, le même nombre d’habitants qu’aujourd’hui ? Pour ce faire, il lui faudrait accueillir « 1,5 million d’immigrants entre 2025 et 2050 », chiffre relativement bas. Si, mieux encore, elle veut maintenir stable le nombre des personnes en âge de travailler, alors, il lui faudrait « doubler le niveau du début des années 1990 ». En clair, accepter la venue de 5,5 millions d’immigrés supplémentaires entre 2010 et 2050 - soit, en moyenne, 136 000 étrangers de plus chaque année. Un chiffre, là encore, relativement faible : dans cette hypothèse, la proportion des immigrés et de leurs descendants au sein de la population française serait à peu près identique à celle d’aujourd’hui : 11,6 % en 2050 contre 10,4 % en 1990.
Mais si, d’aventure, les gouvernants français souhaitent garder le « rapport de support potentiel » (c’est-à-dire le nombre des personnes en âge de travailler pour une personne de plus de 65 ans) identique à celui de 1995 (soit un rapport de 4,4), alors les choses risquent d’être plus délicates : il faudrait que la France accepte d’accueillir « vingt à quarante fois » plus d’immigrés qu’elle ne l’a fait durant ces dix dernières années. Dans ce cas, précise l’ONU, les « immigrés post-1995 et leurs descendants » représenteraient, en 2050, « plus des deux tiers » des habitants de la France. Une gageure ? Pas forcément. Comparés à d’autres pays d’Europe, comme l’Estonie, la Bulgarie et l’Italie, « qui vont perdre », du fait du vieillissement, « entre un quart et un tiers de leur population », les défis que la France doit relever sont bien moins périlleux.(...)« »"
autres sources :
- http://www.vie-publique.fr/politiques-publiques/politique-immigration/index/
- http://www.developpementdurablelejournal.fr/spip.php?article363 ;
- http://www.senat.fr/rap/r03-273/r03-2739.html ;
- http://www.europe2020.org/spip.php?article269
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