« Tout ce qu’on peut dire c’est que lorsqu’elle ont un cerveau à vendre elles évitent de montrer leurs fesses. »
ce qui justifie bien ce qui semble apparemment vous peiner ; effectivement la sphère « d’en haut » qui est, elle aussi composée de deux parties, est souvent pour ne pas dire toujours opposée aux deux parties très charnues « d’en bas » la faute à qui ? pas à Voltaire ni à Rousseau...
ce sont bien les hommes qui, les neuf dixième du temps, font ouvertement des remarques plus ou moins déplacées pour ne pas dire salaces, sur l’anatomie d’une collègue de travail, d’une femme qui passe...
pour la passante, passe encore (quoique), ils n’ont pas les moyens de savoir si la partie d’en haut égale en valeur intellectuelle la partie charnue d’en bas (et est-ce-qu’ils s’y intéressent vraiment ? ) ;
mais au travail, combien entre eux fantasment en se faisant des plans fumeux sur le gros plan d’une collègue, allant jusqu’à laisser croire qu’ils ont taté de ses avantages et racontent qu’ « elle est booonne...qu’elle est chaude.... » ou pourissent la vie parce qu’on ne leur accorde justement pas l’accès à ces avantages qu’ils réclament et sur lesquels ils se croient avoir immanquablement le droit du mââââle..........
ben oui les fesses exitent leur cerveau reptilien qu’ils sont incapables de maîtriser.
est - ce - qu’il y a AUTANT de femmes qui passent leur temps à fantasmer sur le côté pile ou le côté face du pantalon des messieurs ( non, des mectons ) ? 