Oui, en économie il y a une différence entre un salarié et un consommateur, même si cela peut être la même personne. donc je redis : le salarié ne gagnera rien et le consommateur y perdra en pouvoir d’achat... et j’ajoute : on notera que tous les salriés sont consommateurs, l’inverse n’étant pas vrai.
25,6%, est un taux tout à fait délirant... parce que c’est quasi un record mondial (et que les pays qui sont à ces niveaux n’ont pas du tout ni la même structure fiscale, ni la même structure sociale)... et aussi parce que justement il s’agit de l’impôt le plus injuste qui soit et que taxer à 25% quelqu’un qui gagne autour du smic relève de l’aggression politique !
Quand à votre argument selon lequel lorsque l’on augmente un peu la TVA les entreprises en profitent pour augmenter leurs prix, mais qu’à l’inverse en augmentant beaucoup la TVA ils en profiteraient pour les baisser. votre contradiction ne demande pas d’argumentation supplémentaire, je pense ... je me contente de ous informer que chaque fois que la droite a augmenté la TVA cela s’est accompagné d’une diminution des charges patronales. rien de nouveau donc.
l’augmentation de la création d’entreprises, mais aussi des faillites
la baisse du sentiment d’insécurité, mais pas de l’insécurité elle-même, bien au contraire...
du nombre de tués sur la route : oui, et je ne pense pas que ça puisse être lié à la politique économique
la baisse du chômage, toute relative sur cinq années, et accompagnées d’une formidable hausse des précarités, des rmistes et de la grande pauvreté - dont tous les radiés, chômeurs de fait, mais sans droits et non comptabilisés dans les statistiques. on en est arrivé à un point où le nombre de chômeurs ne traduit plus la réalité de la vitalité - ou la non vitalité - du marché du travail. c’est vous dire si c’est une réussite. vous avez raison, j’avais oublié ce point.