« J’en ai assez de voir ces batailles autour des notions complètement virtuelles. Je veux parler de la notion de charges patronales et de charges salariales. Ce sont des concepts qui n’ont aucun sens réel, je veux dire financièrement parlant. »
bien sur que si, cela a un sens
quand vous fabriquez un produit, le prix de vente dépendra d’une part du cout des elements de base, et d’autre part, du cout de la main-d’oeuvre
or ce cout est calculé, non pas a partir du salaire net, mais bien a partir du tout, salaire + charges patronales+charges salariales+charges fixes de l’entreprise
ces charges fixes comprennent aussi bien l’électricité consommée que l’amortissement des machines, et les salaires (et charges) du personnel administratif. Tout ceci fait que par exemple si le salaire net d’un ouvrier est par exemple de 10€/heure, l’entreprise doit se baser sur un cout horaire oscillant entre 20 et 30€/h (suivant la taille de l’entreprise et sa structure)
de plus il faut savoir que pour une entreprise, le personnel administratif devient une charge de plus en plus lourde, et ce « grace » entre autre a notre complexité administrative : certaines entreprises ont du personnel uniquement utilisé a gerer la « paperasserie », quand aux autres, elles gachent une grande partie de leur énergie à ces taches, ce qui se traduit par un sur-cout.
il suffirait de simplifier la legislation pour diminuer de 10% les frais internes d’une entreprise, et donc faire mieux que la tva sociale.
Ceci prouve bien que le gvt se trompe (ou nous trompe) dans sa strategie ; l’histoire de la tva sociale est une blague demontrant la meconnaissance des vrais problèmes, a moins que ce soit volontairement que le gvt cache la verité des prix aux francais.
et puis n’oublions pas que la delocalisation profite surtout aux entreprises francaise (comme carrefour, renault, etc..)