Chère Frankie,
Merci pour le propos.
Sinon un ou deux petits détails. Je n’avais pas moi non plus fait quelconque allusion à la largeur des boulevards, mais à la largeur de Paris même, insinuant que je ne pouvais point imaginer UN boulevard de 33,7km, linéaire de plus, traverser la capitale.
Une longue voie circulaire de 35,04 km ne peut être appellée que périphérique ; les maréchaux quant à eux sont en effet des boulevards.
Quant au fait de s’y promener, je préférerais que l’on dise « faire un tour de vélo sur les maréchaux » à la place de « boulevards urbains », car jusqu’ici il n’y a pas de boulevards rureaux (même si...).
Je vois que vous aussi vous êtes une inconditionnelle du vélo.
Une excursion dans les parcs limitrophes de Paris serait largement plus savoureuse que sur les maréchaux, sauf si on voudrait jeter des œillades sur les costumes de la capitale plutôt que de profiter avec impétuosité des charmes exultants de la nature.
Vous n’êtes pas la seule à appréciez apparement le génie de Monsieur Jean-Pierre Petit. C’est un personnage assez décalé, de culture largement pluridisciplinaire. On a cesse de découvrir d’intéressantes choses avec lui. Je ne cautionne pas par contre ses histoires d’UFOlogie, ni celles de rencontres de troisième type (quoi que fictives). J’ai remarqué que vous n’aviez pas mis d’URL.
Amine Maalouf est un excellent auteur poète.
Je vois que vous appréciez un certain Proche-Orient.
A la beauté enivrée du style d’ « Omar El Khayyam » je préferais la splendeur particulièrement enivrante et philosophique d’« Al Ghazâli » et de sa plume fort romancée.
Votre article « Le no man’s land de l’alcool » est un beau chef-d’oeuvre (zéro notes négative, très mérité).
J’ai jamais bu la moindre goutte d’alcool. Je m’énivre de la vie, et elle s’énivre de moi, sans Omar El Khayyam.