@ux auteurs
ne vous semble-il pas que nous avons assez retourné ces questions ? Qu’on ne les brasse que trop pour nous dans le déluge informationnel dont elles sont déjà l’essentiel ? Que les réponses sont en-deça, au-delà, ailleurs, autres ? Au delà de la gestion, de l’Etat. Du divertissement tragique qu’ils donnent. Des spéculations infantiles qu’ils autorisent. Et pourtant l’Etat ne nous rend pas plus libre. Il focalise pour ainsi dire tous les immobilismes. Vraiment, ce devrait être le cadet de nos soucis.
Il ne perdure qu’en jouant sur les peurs et leurs compensations. Mais voyez ce qui se profile quand la confiance est possible, parce qu’on s’oppose vraiment à la religion moderne, à l’idéologie dominante (économiasme), donc à l’Etat, son valet :
Madame, Monsieur,
On sait bien que l’on n’est jamais mieux servi que par soi-même ; l’idée est donc d’appliquer ce principe au champ social.
On se laisse dire que rien n’est simple : nous pensons au contraire que le plus difficile est de s’entendre, de se comprendre. C’est pourquoi toute action nécessite une phase de concertation : nous avons donc visé au plus ouvert et au plus précis. Mais il semble que, ce faisant, nous excitons quantités de préjugés, jusque chez ceux qu’on imaginait les plus souples.
Les mouvements révolutionnaires (de changements sociaux profonds), jusqu’à aujourd’hui, procèdent des provocations des maîtres. Et dans ces mouvements même le mouvement réellement offensif est timide en un sens, la défense monopolise beaucoup d’énergie, la confiance ne gagne pas ; les maîtres conservent le plus souvent l’initiative. C’est pourquoi il nous semble prépondérant de soutenir un discours offensif qui dise la confiance radicale que nous voulons opposer pratiquement à la méfiance et à la superficialité ambiantes. Il s’agit pour nous de favoriser le plus possible la liberté individuelle la plus élémentaire (fondamentale), le plus vite ; car c’est la meilleure base pour les échanges humains et avec soi pour commencer. Et avant même la liberté de faire, c’est à la liberté d’être que nous pensons (au vrai nous ne les distinguons pas). Bref, nous ne transigerons pas sur les questions du travail, de l’argent et de la survie.
Mais soyons clairs, ce qui favorise ce projet ce ne sont pas des critiques de détail et des états d’âmes, plutôt la communication des évolutions pratiques que le TPi vous incite à instaurer et leurs résultats. Nous ne nous soucions pas tant des opinions et des marottes de « notre » chapelle et des ses détracteurs que de son action auprès du tout-venant. Tout au plus nous faudra-t-il donner quelques précisions (certains par exemple confondent le TPi avec de l’assistanat ; le coup de l’inflation ne devrait plus guère tarder). Et il nous faudra encore aborder l’esprit du détournement des lois pour avancer vers la maturité du genre humain. Car en plus de paraître spontanément assez incontestable et enviable, pratiquement et théoriquement, notre proposition/discrimination est corroborée par le fait que seule sa perspective nous enthousiasme de façon conséquente : la vie tronquée, châtrée, stérilisée, débile, nous est un poids de plus en plus insupportable. Sans haine congénitale, acquise ou autres, nous en venons à nous découvrir des ennemis indignes. Nous sommes si peu de chose socialement, politiquement, écologiquement, cosmiquement, spontanément, comment ne pas prétendre y remédier de toute urgence ?
Le TPi défie la puissance fabuleuse de l’Argent, du travail et de la peur (survie). Aujourd’hui, c’est de voter qui est antidémocratique puisqu’on ne choisit qu’entre des partisans de l’esclavage. Ce qu’on ne peut imaginer à notre place il nous faut le prendre. Nous partons de cette hypothèse, du constat que voter est inutile. Ai-je la force de soutenir cette thèse publiquement comme elle l’exige (une enquête sur la chose publique par le public même) ? Ai-je le droit de solliciter la chose publique de façon systématique et spontanée dans le sens de la liberté et de la bonne intelligence ? C’est à vous de le dire, de décider, pour cette fois, tous.
Béguin Etranger, mandataire du parti du monde, pour le journal officiel du pauvre / 190607 / http://ecrivainpublik.free.fr/
Communication aux forums, http://www.appelauxsansvoix.org/forum/threads/thread/index.php?thread=490, http://www.xsorbit1.com/users/franckeinstein/index.cgi?board=Comptoir, aux coordinations du Forum Social des Quartiers Populaires (emails), à l’hebdomadaire La Vie (emails et courriers aux dirigeants, courrier des lecteurs et lecteurs), à Zaléa TV (email) et sur Agora Vox ( http://www.agoravox.fr/article.php3?id_article=25584). Mais aussi aux habitants de nos quartiers respectifs :
Trésor Public inconnu :
POUR TOUT LE MONDE, AU PLUS TARD LE 7 MAI 2008, 2000 € net / MOIS
Parce qu’il n’y a plus d’Etats nationaux - mais que nous vivons tous dans un état d’esprit qui domine le monde
Mais ne vous inquiétez pas, vous comprendrez toujours l’essentiel, l’utile et l’agréable. Ainsi :
1. transmettez, communiquez cette idée naissante au plus grand nombre de gens, en tous genres, autour de vous, tout le temps, partout / puis essayez de rester en bonne intelligence sur ce seul sujet (TPi)
2. croyez en ce projet devenu votre ou n’y croyez pas / veuillez nous préciser en quelques mots pourquoi vous ne pouvez pas y croire
En fait ceci est une expérience démocratique, un pari laïc
parce qu’il nous semble que nous pouvons simplement résoudre de nombreux problèmes sociaux (qui pèsent sur les discours et les réjouissances publiques : vie commune, emploi, logement, discriminations, immigration, éducation, infantilisation, sécurité sociale, dette publique...) ; et dans le même mouvement critiquer pratiquement la domination du travail sur la vie
nous estimons donc que tout le monde, quand il le demande, devrait recevoir 2000 € net / mois pendant 9 mois (puis demander à nouveau, aussi longtemps qu’il jugera avoir besoin de cet argent). Ce revenu équivaut au coût de la survie (matérielle et morale) de la basse classe moyenne dans le lieu où vous êtes (par exemple 2000 € en France en 2007). Ce revenu n’est pas imposable (l’imposition commence au-delà de 2000 € selon les barèmes actuels) ; pas automatique, pas obligatoire (il faut le demander quelque soit son âge ; cela vaut pour ceux que l’on définit encore comme « mineurs »).
C’est une expérience démocratique parce qu’elle est provoquée par une vieille idée qui prouve la lâcheté et la passivité du personnel politique. C’est une expérience démocratique parce que nous, les gens, décidons que la réalisation de cette proposition est la première urgence ; et que nous commençons de comprendre et d’apprécier que rien d’important ne se fasse sans nos impulsions. C’est pourquoi nous devons solliciter le personnel politique en occident et partout dans le monde si nous voulons le moindre accomplissement de notre volonté de vivre. Nous sommes fatigués d’attendre ; nous sommes assez matures pour imposer notre sens de la responsabilité (de la dignité). Nous avons confiance en nous-mêmes comme en quiconque, comme en notre parole.
Les médias découvriront officiellement notre projet à partir du 7 mai 2007. Le personnel politique aura jusqu’au 7 mai 2008 pour le réaliser mondialement. Nous, les gens, avons juste à nous mobiliser, ainsi que notre attention commune, dans cette seule perspective (TPi). Certains demanderont peut-être comment nous mesurerons nos forces : mais pour atteindre notre but nous devons considérer que d’autres vont tenter de récupérer le mouvement que nous sommes. Cette résistance d’arrière-garde nous mobilisera et manifestera assez nos dispositions comme communes à la majorité de gens à travers le monde - ou pas (considérant que les exigences pratiques excluent les tièdes). Si votre principale inquiétude est financière, comme on peut s’y attendre, écoutez ceci : la Bourse, l’argent, les dettes publiques etc. ne sont que des conventions, des accords internationaux. Mais les nations sont mortes, agonisent. Nous, les anonymes, sommes le seul monde réel. Nous considérons même que la dette publique est le signe de notre recherche du meilleur pour tous (liberté) ; ainsi une profonde et énorme dette est un bon signe qui signifie la richesse du monde selon nous. Mais si vous laissez les dames penser statistiquement que cette société n’est pas si mauvaise, nous ne pourrons pas nous entendre. Bien que nous ne semblions pas dans la pire situation, même pour nous c’est trop de luttes stériles et de martyr insensé qui violent et renfrognent notre subjectivité.
Toutes les actions doivent être envisagées, considérant toujours les médias dominants comme des ennemis que nous pourrions avoir à occuper et à utiliser éventuellement.
MAIS D’ABORD NOUS DEVONS ENGAGER NOTRE PAROLE DANS LA BATAILLE
Ce texte est un prétexte.
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