Pour les USA effectivement les ravages du créationisme auraient été importants, et ça ne serait pas nouveau.
Leur position de plus grande puissance mondiale leur permet (et leur a permis) de compenser par l’importation de scientifiques venus du monde entier les secteurs en trop forte jivarisation des esprits des petits américains (qui sont devenus grands, deviennent grands et deviendront grands).
Pour l’instant l’UE, et plus encore la France, ne semble pas disposer de moyens suffisants pour la science, par son avarice comptable et le manque de clairvoyance de sa classe politique affairiste, et ne semble pas en capacité d’embaucher suffisamment de gens correctement formés venant de l’étranger comme de former suffisamment de jeunes Européens.
Ne rajoutons pas à ce type d’handicaps celui de laisser s’installer l’arriération créationiste par ce qu’elle a de conséquences concrètes quand elle manœuvre dans les allées du pouvoir pour influer négativement sur les choix opérés.
Car ce sont bien les conséquences au concret de cette croyance religieuse particulière qui importent.
L’éducation dans l’UE et en France, et les différentes formations scientifiques de ces populations, exigent un peu plus de rigueur et de sévérité face au lobby créationiste et de retourner cette croyance particulière vers son obscurantiste envoyeur.
Si ce lobby arriéré réussit à seulement ralentir l’effort scientifique de l’UE il aura accompli une partie de sa double ambition :
1) Endiguer le recul dans le monde de ses conceptions créationistes du monde.
2) Affaiblir d’éventuels concurrents des USA.