D’accord avec vous sur l’intégrisme de certains mais ce n’est pas une raison pour jeter le bébé et l’eau du bain.
Au sujet de votre anecdote du mariage :
il y avait deux groupes au lieu d’un mais à qui la faute ?
Les fumeurs ne pouvaient ils pas ne pas fumer et rester avec les autres ? Ils ont dû sortir pour soulager leur addiction. Et alors ? 5 minutes d’absence, est ce un drame ?
vous dites « Que les non fumeurs aient du mal à comprendre cela n’est pas étonnant. Mettre tout sur le dos du tabac aujourd’hui est un peu pousser le bouchon. »
Sans tout mettre sur le dos du tabac (oui les rejets du moteur diesel sont cancérigènes), je crois que ca ne doit pas empêcher de faire de la prévention.
je cotois des fumeurs et mon père était un ex grand fumeur (il a commencé à 10 ans) il a dû arrêter car il avait trop de problèmes de santé causés directement par la clope. Il n’a jamais pu arrêter avant, il se fichait s’enfumer sa famille mais quand SA vie est en jeu, miracle, il a pu arrêter ! Bref, je ferme la parenthèse perso.
Quand je vois l’état de mes amis fumeurs après seulement quelques heures sans tabac, quand je vois leur stress et leur agressivité, je les trouve pathétiques...
Les non fumeurs qui sont sensibles à ce sujet ont souvent des raisons médicales ou parce qu’ils connaissent les conséquences du tabac.
On dit souvent que les anciens fumeurs sont les plus intolérants des anti fumeurs. Peut être qu’ils sont aussi les mieux placés pour avoir été dans les 2 situations et qu’ils sont parfaitement conscients des méfaits de la cigarette, les fumeurs devraient plutôt méditer sur leurs cas au lieu de les stigmatiser comme des « traîtres » à leur cause ?