On débat d’un sujet lorsque son interlocuteur est disposé à se départir, un tant soit peu, des sempiternels lieux communs et banalités qui font que l’on peut discuter à minima des sujets secondaires ou accessoires puisqu’au fond ils n’intéressent pas grand monde, mais que l’on se garde au final d’aborder la critique externe des rouages institutionnels ou démocratiques, bref de prendre de l’ascendant pour jauger plus globalement le Monstre et interroger sa légitimité démocratique , au risque de passer pour un réactionnaire d’extrême Droite. Et il me paraît sain, voir nécessaire de souligner que l’Europe Institutionnelle, politique, vous l’appelez comme vous voulez, fait ici fausse route, se trompe, prend le mauvais chemin si vous préférez. Et que les Français et les Néerlandais lui ont CLAIREMENT signifié en 2005 . Est-ce assez clair : NON !
Ai-je le droit d’exprimer cet idée, d’autant que je ne suis pas le seul à la partager, sans être immédiatement taxé de Fasciste ou de décliniviste parce que je casse le joujou idéologique de ces Messieurs ou des Européistes et que je me permets de toucher à leur fond de commerce ?
Non. Donc le droit je le prends , et je vous emm....
Et enfin qu’est que le parallélisme avec Sarkozy à avoir la dedans ?
Lorsque l’on débat du rôle du Sénat dans les institutions Françaises, ou de sa nécessité, on ne regarde pas à la dépense en prenant assez piteusement A Poher comme exemple ou contre exemple pour noyer le poisson en se demandant si il a bien fait son boulot ou pas, mais on s’interroge sur l’intérêt de l’institution dans le cadre de l’organisation des contre pouvoirs qu’il apporte à la démocratie et aux citoyens...
L’Europe c’est pareil ! Il faut juste avoir (enfin) le courage de se poser les bonnes questions quitte à remettre en question son éxistence même.
Et en démocratie, c’est possible, voir parfois nécessaire .