• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile


Commentaire de mel

sur 3 000 anticorrida pour contribuer à faire tomber « La Monumental » !


Voir l'intégralité des commentaires de cet article

mel mel 5 juillet 2007 15:49

@Bois-Guibert Non, c’est bien la civilisation et non la sensiblerie qui « ne veut composer avec la mort et la pâture donnée en spectacle ». L’exploitation de l’animal par l’homme existe depuis que nous existons, mais ce n’est pas notre sensiblerie qui nous fait aujourd’hui rejeter la torture pure et simple, c’est notre conscience, la conscience de faire du mal à une bête juste pour le plaisir de la voir souffrir, vous pouvez enrubander ça de toute les traditions que vous voulez ce n’est que cela, voir de la souffrance et la mort en face. Se divertir du sang et des cris. Nous devrions tout de même être un peu plus évolué au XXIè siècles vous ne trouvez pas ? Ou alors nous n’avons pas évolué d’un pouce tout le long de notre humanité, nous sommes resté des bêtes en fin de compte ! Comme vous dîtes, pour l’homme de la campagne, la mort de l’animal n’est pas une tragédie de la vie mais une nécessité, en quoi la torture des taureaux est-elle une necessité ? Je comprend pour le paysan qui doit manger mais pour le citadin de Barcelone ? Qu’elle nécessité a-t-il de voir mourrir cette bête si ce n’est le plaisir qu’il prend à la voir mourrir ? Alors peut être que la memère a son chienchien ne comprend pas et s’offusque qu’on traite les animaux ainsi, car pour elle son chien c’est son compagnon, celui qui lui donne de l’amour sans rien demander, c’est le seul pour qui elle compte encore un peu et elle ne peut pas comprendre la sauvagerie des hommes, non elle ne peut pas comprendre, elle est trop sensible dîtes vous, moi je dis que c’est vous qui ne l’êtes pas assez. A toujours vouloir excuser l’Homme et ses désirs on va finir par tout détruire. Le jour où il n’y aura plus aucun animal sur terre à part dans les zoos et les labos vous pourrez aller remplacer le taureau dans l’arène pour voir dans les yeux de vos spectateurs tout le plaisir qu’ils prennent à vous voir mourrir, peut être y chercherez vous à ce moment un peu de cette « sensiblerie » que vous critiquez que moi j’appelle pitié, tout simplement.


Voir ce commentaire dans son contexte





Palmarès