@ Svetlana
Eh bien moi, je trouve votre article plus intelligent que le propos du bouquin, puisque vous posez cette question de savoir si le travail est « une valeur, une fin ou un moyen ».
Car si l’auteur du livre fait preuve d’un humour au second degré qu’on est en mesure d’apprécier chez certains grands penseurs ou écrivains, je rejoins Libertéchérie et Fred dans leurs commentaires.
• Qui supporte de perdre son travail et ses ressources ? De se trouver en conséquence très rapidement dans l’enfer d’une spirale qui conduit à la rue ? (Je vous garantis que c’est vite arrivé.)
• « Simplicité volontaire » : ne pas tout confondre. On n’est pas affamé par choix, avec le RMI ou les ASS.
• Ça me rappelle l’« affaire Thierry F. » (http://www.actuchomage.org/modules.php?op=modload&name=News&file=article&sid=2200), ce faux chômeur dont la prose claironnante paraissait n’exister que pour dégoûter ceux qui travaillent et discréditer ceux qui ne travaillent pas.
• Je vous conseille la lecture de « Bonjour paresse » de Corinne Maier (http://www.journaldunet.com/management/dossiers/041159paresse/maier.shtml).
Et bon courage à vous, votre article est très bien et l’on vous a à peu près gentiment bizutée, semble-t-il.