Si le refus du travail rendu possible grâce aux aides et au RMI n’est qu’une « ficelle » pour pouvoir consommer sans se fatiguer, effectivement cette posture est discutable... bien que dans ce cas on peut émettre des doutes sur la viabilité d’une telle situation étant donné l’écart de plus en plus important entre le niveau de ces aides et le niveau de vie du consommateur moyen.
En revanche, dans le cas de la simplicité volontaire ou décroissance on peu envisager que cette posture est une façon de limiter les dépenses énormes qui devront être faites pour atténuer les effets néfastes du productivisme sur notre environnement.
Le travailleur/automobiliste/consommateur va commencer à coûter très chers à la société, surement beaucoup plus que nos sympatiques RMIstes décroissants qui sont évidemment le modèle vers lequel il faudrait tendre ...