@Vincent
« Bon ben si voulez, nous arrêtons tous les tests médicaux, cosmétiques, alimentaires, et pis à la prochaine épidémie par exemple, ben vous resterez sur le carreau. »
Au cas où vous ne l’auriez pas remarqué, j’ai cité(moi au moins) des références scientifiques au dessus de tout soupçons, dont notamment un prix nobel spécialiste des virus et de la génétique. Ceux ci pourront vous démontrer que le modèle animal n’est pas recevable. A priori vous n’avez pas beaucoup de point commun avec une souris !
« C’est vrai qu’il vaut mieux que votre gamin de 5 ans ait des grosses cloques sur le corps, que de « torturer » trois lapins » Citez moi un seul exemple d’un produit non testé sur les animaux qui ait amené à un procès. Par contre l’inverse est plus facile. Comme je le dis il y a d’autres méthodes bien plus recevables maintenant et qui ne font pas appel à la facilité des animaux de laboratoire.
Vous agitez lachement le spectre de la délocalisation des laboratoires. Mais pourquoi nos si performants laboratoires ne se spécialiseraient pas dans ces nouvelles méthodes. D’ailleurs nos multinationales sous traitent déja leurs tests sur les animaux hors de France, au cas où...
Vous ne pouvez imaginer l’impact positif qu’aurait une politique respectant les animaux auprès du grand public. Le cout d’investissement dans les nouvelles méthodes serait en partie absorbé par cette bonne image, notamment sur des marchés comme les États Unis.