@ IP115
Il est vrai qu’en fin de mandat, l’usure du pouvoir se fait sentir. Mais il n’y a pas que la popularité de la personne. Il y a le plébiscite eu égard à ses décisions et à ses politiques. Il me semble que la population a bien fait sentir au président sa très vive désapprobation générale de ses politiques intérieures et extérieures. Et le Congrès finira bien par imposer un retrait de l’Irak au président récalcitrant.
Triste, très triste fin de mandat. À l’exception d’une histoire truculente, le président Clinton n’a pas atteint le fonds du puits de manière aussi brutale.
@ Frédéric Lyon
Il est bien évident que la division en deux camps bien opposés de la représentation palestinienne est bienvenue puisqu’elle a été sciemment provoquée. Votre analyse sur l’Irak et la Syrie ainsi que votre commentaire sur les conditions de signature de l’État d’Israël sont tout à fait dans l’actualité. Sauf que, comme Stephanesh l’indique, les conséquences de s’attaquer à la Syrie seraient aussi désastreuses que l’invasion et l’occupation de l’Irak. Bush doit compter sur le secrétaire général des Nations-Unies pour justifier le maintien envers et contre tous de l’armée américaine en Irak. Je commenterai en d’autres lieux cet appui de Ban Ki Moon au président américain qui estime que la violence en Irak constituait un "problème pour le monde entier.
@ Pallas
Je ne sais à quel degré je dois comprendre et interpréter votre commentaire. Je m’en excuse. Mes capacités sont, de ce point de vue, limitées à la hauteur des singes que vous citez : Nous voici avec de pseudo intellectuels, des singes savant pronant qu’ils savent tous et sur tous les sujets.
@ dom
Merci pour vos remarques.
Pierre R.