« Voilà pourquoi les libéraux ont par exemple tout intérêt à combattre ceux qui comme moi, au nom de leur propre individualisme, résistent à se livrer à quelque acte impersonnel que ce soit ; »
C’est plus de l’égoisme façon 68 hard qu’autre chose, votre position..
« simplement pour remplacer des salaires occidentaux par des salaires chinois, le système libéralisé lui permet de le faire sans entrave, et sans avoir à demander son avis à la collectivité. »
Encore heureux !
Et ? C’est trés bon pour la collectivité. Certes, quelques cetaines d’ouvriers perdent leurs emplois. Parce qu’ils volaient leurs clients. Et donc, la majorité peut maintenant s’acheter les produit aretruc. La richesse global dela société a augmenté.
« A aucun moment, la décision n’est prise au niveau collectif en se posant la question de l’intérêt de tels choix pour la société. »
Personne ne peut déterminer ce qui est bon ou pas pour la société, il y a des milliard de paramétres instables, c’est impossible.
« Avec la financiarisation de l’économie qui prend des proportions inquiétantes, on s’aperçoit de plus en plus clairement que l’enrichissement de quelques-uns ne profite pas nécessairement à la société dans son ensemble. »
L’humanité et les français n’ont jamais été aussi riches de toute leur histoire !
« En revanche, le rôle des politiques, qui représentent la société pour tous les choix qui engagent la population dans son ensemble, est justement de limiter la toute puissance des puissants. »
Non. Les gens votent pour les Lois qu’ils veulent Que l’Etat LEUR imposes, pas pour les Lois qu’ils veulent imposer aux autres.
« Car le gâteau n’est pas infini. Et le fait qu’une toute petite minorité s’accapare la majorité des parts crée un déséquilibre social, une mise en danger des plus pauvres et des frustrations qui finissent par se transformer en violences sociales dont tout le monde souffre. »
Le gateau est infini et les probléme de la France, certes réel, viennent d’un refus du libéralisme voir même du capitalisme.
« Engager cette réflexion peut conduire à une autre vision du travail, et surtout, à terme, à une autre organisation du travail, plus respectueuse de l’être humain et bénéfique à la société. »
Ce ne sont pas des « rélfexions » qui vont changer le monde réel, et les Lois de l’économies !