J’arrive après la bataille. Je partage les avis exprimés par Voltaire et Docdory.
Une remarque sur la rédaction de l’article : un message de Revelli dit que l’auteur journaliste a un bon « background »(?), je suppose que ça veut dire qu’il a de l’expérience, or, cette phrase est terriblement tendancieuse :
« oubliant les scandales ravageurs du sang contaminé, de l’amiante (3 000 morts par an), de l’hormone de croissance, de l’hépatite B, etc. »
Dans les trois premier cas, il y a effectivement matière à parler de scandales, impliquant tout à la fois des industriels, des politiques et des médecins. mais dans le cas de l’hépatite B, sur quoi vous basez-vous pour parler de « scandale ravageur » ? Où sont les ravages, combien de victimes, combien de décès ?
La future bombe, le futur scandale, ce ne sont pas les vaccinations, mais les pesticides, dont les effets de la plupart n’ont jamais été étudiés alors que ces susbtances nouvelles se promènent et se stockent dans les organismes vivants. De plus en plus d’études en ont confirmé la toxicité à faible dose. Politiques, industriels, ainsi que les USA et les multinationales ont fait un terrible lobbying à Bruxelles pour amoindrir le protocoles Reach, et ils ont pas mal réussi.
On tolère aussi des milliers de morts sur la route pour le plaisir de penser gagner du temps en roulant vite (même si la vitesse n’est pas le seul facteur).
Alors, si vous faites un article sur les vaccinations, commencez par cadrer le sujet, combien ces maladies faisaient-elles de victimes avant les vaccinations (et avant les progrès de l’hygiène), combien de victimes ou d’accidents aujourd’hui et citez vos sources. De toute façon, comme l’avait fait remarquer Voltaire, c’était un très mauvais choix pour ce début de journlaisme citoyen, espérons que cela s’améliorera.