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Commentaire de maxime vivas

sur Venezuela : plus je lis les menteurs, plus j'aime Bolivar


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maxime vivas maxime vivas 2 août 2007 08:56

Usant de l’anti-phrase, J. Saint-Pierre ironise sur le « savoir-vivre, [la] retenue et [le] bon sens » de Michel Maugis. Il y découvre « de façon éclatante les tactiques habituelles de l’extrême gauche lorsqu’il s’agit de débattre. »

Puis, il use illico des procédés qu’il critique en parlant de « diatribe incohérente et teintée d’une agressivité maladive ».

Bref, si l’on décrypte, son contradicteur est un fou et un malade dangereux.

Quant à Chavez et Castro, se sont des « ordures » (tandis que les idées de Maugis sentent « la poubelle ».

On apprécie dans ces affirmations l’élégance de style de St-Pierre, son goût du dialogue argumenté et... la tolérance du modérateur d’Agoravox.

Castro a fait « fusiller plus de 15 000 personnes durant son régime (sic) » et il est « un admirateur invétéré d’Hitler. » ?

15 000 ? Je croyais que c’était cent cinquante mille (par an) et que la lecture de Mein Kampf était obligatoire dans les écoles maternelles (au sol de terre battue, sans chaises, sans tables, sans repas).

A ce niveau d’injures et de mensonges, pourquoi continuer à « dialoguer » ? Pour que le contradicteur descende encore plus bas ? Mais faut-il vraiment le pousser à lâcher son argument suprême : « Bandes d’enculés ! ».

MV


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