> J’ai les larmes aux yeux, mais c’est parce que je prépare des cornichons avec des oignons et de l’échalotte smiley
Ouch, non seulement un tel plat ne doit pas être très bon mais en plus il doit faire sacrément mal au ventre.
Bref, pour revenir à cette histoire linguistique : la langue française, comme la plupart des autres petits patois locaux incapable de rivaliser avec l’esperanto, comporte un certain nombre de catégories de mots : il y a les petits mots, les mots durs, les bons mots, les mots doux et... les gros mots (c’est pas de moi). Chacun d’eux, sans exceptions, concourrent à la richesse d’une langue, et chaque langue serait incomplete si on retirait l’une de ces catégories.
Asp Explorer est peut être globalement un médiocre bobo qui se complait dans le rôle de dinosaure au cul posé sur la pangée en gueulant au ciel que quand même, c’est degueulasse d’envoyer comme ça des météorites (aussi clone que je sois, puisque vous me faites l’honneur de me designer ainsi, j’admet ce point), mais si on peut lui accorder quelque chose c’est bien qu’il sait écrire : c’est un écrivain, un damn good one, j’ai pris plus de plaisir à le lire qu’à lire ses compétiteurs directs que sont Asimov, Simmons, Pratchett, Herbert, Rowling, Scott, Martin... Et sa maitrise de la langue est incontestable. Il y a donc bien une chose que l’on peut attendre de lui, c’est de savoir utiliser l’ensemble du spectre linguistique, sans tomber dans le vulgaire. Et si effectivement il emploi des mots et des images colorés, il n’est pas tombé, contrairement à vous, dans le vulgaire.
Et si vous me permettez, Mr Masson, c’est justement le propre des gens vulgaires tel que vous de ne pas savoir où se situe la frontière entre ce qui est vulgaire et ce qui ne l’est pas.
Allez, il n’est jamais trop tard pour apprendre, voici, pour que vous sachiez le reconnaitre par la suite, un exemple de vulgaire : « Si vraiment Asp ne cherche pas à contrer l’espérantisme à tout prix, pourquoi avoir utilisé un langage aussi merdique ? »