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Commentaire de hood

sur Henri Potier et le mystère du rayonnement disparu


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hood 8 août 2007 10:33

« Aucune densité psychologique » J’aime beaucoup ces mots qui résument presque le problème. On nous le ressort à chaque fois qu’il est question de culture populaire. Harry Potter, et en particulier les trois premiers tomes, s’adresse avant tout à des enfants. Et pourtant, vous voudriez qu’on s’y scrute les atermoiements du nombril comme dans le premier bouquin de Proust venu ? Le problème de notre haute littérature c’est qu’elle a tout sacrifié, le plaisir, l’humour, l’émerveillement, le sens du scénario, à cette quête de la densité psychologique. Et pour quel résultat ? Des livres vains et creux comme ceux d’un Jardin, d’un Beigbdeder ou d’une Lolita Pill... Désolé mais je crains qu’Harry Potter n’ait plus d’avenir que les pseudos chefs d’œuvres de Houellebecq.


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