Même question à billdoor : lisez-vous seulement les commentaires [ou ce que j’écris généralement, pas seulement sur AgoraVox — et il y a la valeur de bouquins entiers] avant d’émettre un avis et avant de me casser du sucre sur les reins ?
A l’origine, cet article était deux fois plus long et je l’ai considérablement réduit. Il m’a donc fallu faire un choix. Ai-je nié quelque part les raisons de la motivation pour l’anglais plutôt que pour l’espéranto ? Elle ne m’échappe pas, pas plus qu’à la quasi totalité des locuteurs de l’espéranto.
Merci pour les « délires paranaoïaques », mais, pour ce qui concerne, seulement l’aspect « d’un désir de comprendre la culture et l’histoire d’un pays », là, c’est le zéro absolu, car j’estime, en étant généreux, qu’il n’y a pas un quart des gens qui apprennent l’anglais, qui le font pour cette raison.
D’accord avec Tlön Uqbar et funram quant à la nécessité d’évoluer. Je suis de ceux qui se sont battus énergiquemnt pour l’acquisition du siège de SAT-Amikaro, au 132-134 du Bd Vincent Auriol, que les usagers de la ligne de métro Nation-Étoile peuvent remarquer près de la station « Nation-Étoile CDG » ET QUI SE BATTENT ENCORE POUR AMÉLIORER TOUT CELA, ET QUI FONT LEUR POSSIBLE POUR QUE LES JEUNES S’IMPLIQUENT DANS CE COMBAT.
Je suis aussi de ceux qui ont cherché à montrer le visage vivant et sympathique de l’espéranto en plaidant pour des spectacles d’artistes espérantistes, en particulier jOmO (Jean-Marc Leclercq, Guinness des Records pour avoir chanté 22 chansons en 22 langues), aussi bien au niveau de SAT-Amikaro que d’Espéranto-Vendée. Mais qui est assez naïf pour croire que l’on promeut si facilement un vrai artiste. Comment se fait la promotion des artistes tels que Tom Cruise et autres ? Se fait-elle vraiment sur leur valeur ou sur la base d’un jeu truqué ? Il faut voir les commentaires que m’a valu l’article http://www.agoravox.fr/article.php3?id_article=13231 sur la chanson en espéanto.
Bon, on m’accuse de tous les maux (même s’il existe aussi des avis tout à fait contraires, et certainement plus nombreux), mais plutôt que des « yakadémiciens », conseilleurs mais pas payeurs, l’espéranto a besoin de gens solidement carapacés pour résister aux tirs croisés — y compris de prétendus « amis » —, pour se mettre la main dans le cambouis afin que la machine puisse fonctionner sans à-coups.