"Il se trouve que, voici moins d’une heure, aux puces de plus en plus renommées de Moutiers-les-Mauxfaits, je suis tombé nez-à-nez avec un professeur d’anglais et d’espéranto, Jeanik Marolleau, qui est l’un des responsables du centre de stages d’espéranto de Grésillonhttp://gresillon.org/
Comme beaucoup d’enseignants de langues, il ne demanderait pas mieux que d’enseigner l’anglais et l’espéranto en commençant par l’espéranto. Tout le monde y trouverait son compte et gagnerait du temps. Voir un autre exemple : http://www.esperanto-sat.info/...
C’est justement un recours dont les professeeurs de langues devraient prendre conscience.
Pour ce qui est de la chute de l’allemand, je suis au courant depuis déjà pas mal d’années, y compris dans les zones frontalières avec l’Allemagne. Les différents rapports Legendre, que j’ai mentionnés plusieurs fois antérieurement, en faisaient déjà état. Mais si je le répétais, on dirait que je fais du « copié-collé », ce qui s’applique tout à fait à ceux qui ressassent toujours les mêmes arguments contre l’espéranto..."
Là, j’avoue ne pas avoir compris... Le « recours » que vous mentionner, c’est quoi, au juste ? De pouvoir enseigner plusieurs langues ? De mettre l’espéranto comme langue prioritaire ? Autre chose ? Sincèrement, je n’ai pas compris.
Et je ne vois pas non plus en quoi cela constitue une réponse à mon propos. Prière d’éclairer ma lanterne à ce propos.