je note peeut interessant car tu melanges en intriduction des faits et des contreverites. (Dommage car le sujet et l l’article sont interesssants) .
Quand tu dis La filière littéraire est bien souvent présentée comme la voie de garage des lycées d’enseignement général (commentaire, car personne n’a jamais defini ce qu’est une voie de garage), c’est vrai ou c’est faux qu’il y a plus de S voulant faire S et rien d’autres que de L voulant faire L ?
Tu as raison de rappeler que si « on ne peut rien faire avec un bac L », on ne peut rien faire de plus avec un simple bac S, le bac n’étant qu’une passerelle vers des études supérieures, c’est le principe des filieres generales du lycee francais.
Par contre, Quand tu dis « à quoi peut bien servir un « amoureux des arts » à une entreprise qui recherche « l’efficacité » et le rendement ? » c’est vraiment sans fondement, parce que
1. tu sous entends que tous les L sont des bons et des passionnés d’arts, cultivés, or c’est faux ... (desole)
2. tu assimiles l’entreprise a un lieu ou il n’y a que de la competition, jamais de cooperation (c’est inexact)
3. enfin, tu restes braque sur le seul exemple que tu sembles prendre en compte, la France, en oubliant que en Angleterre par exemple les fac litteraires sont bien plus recherchees par « l’elite » que celle d’ingenierie et que les financiers de la City sont tous diplomes en histoire medievale ou en philo.
Par contre si on se replace daans le cadre national francais, a quoi bon nier que les emilleurs eleves vont en S, que la France aime les matheux et que seuls les tres bon L (et non pas juste les bons voire moyens comme en S) font de bonnes etudes ?
Dans le meme ordre d’idee, cette focalisation sur S ou L ne doit pas faire oublier que L est beaucoup plus valorise que les bacs professionnels et technologiques alors quon sait bien que les bac pro donnent des formations pro et un metier. Mais ca les L et les S s’en fichent, ils visent tous l’X et l’ENA !