Il faut avoir la cervelle bien flétrie et bien vieillie avant l’âge pour ne pas être bouleversé par un Grand Bleu, un Dernier Combat ou un Cinquième Element.

Je vous suggère de faire quelque peu de plongée sous marine et vous changerez d’avis radicalement sur ce que vous appelez bêtement un « concours stupide ».

Ce n’est pas parce que Besson a fait des films qui déplaisent à certains pseudos intellos empoussiérés des neurones que Besson fait des mauvais films.

Un peu d’ouverture d’esprit que diable !

J’ai beau avoir la bagnole en horreur, que dire, en haine absolue et définitive, Taxi me fait bien rigoler.

Si vous n’avez rien compris au Grand Bleu alors toi y’en a devoir comprendre que ça y’en a être un superbe poëme en images du thème des crétins matérialistes contre ceux qui osent vivre leur rêves.

Le Dernier Combat et le Cinquième Element, idem du thème mais en des lieux, dates et situations différentes.

Il n’y a pas plus beau thème de film.

Quant à Jean Reno, lui au moins ne fait pas dans le film intimiste nian nian pseudo intellectuel débilitant puéril tant idolatré par une certaine caste de bobos lobotomisés de salles de cinémas, de salons feutrés et de festivals insipides pour décérébrés du petit et du grand écran, histoire de se pavaner et de se montrer dans un milieu aussi intellectuellement pauvre d’esprit que clinquant de connerie.

J’ai vu des films se tourner dans mon hôpital. C’est pathétique de voir comment les gens du cinéma se la pêtent pour seulement avoir tourné une scène de 2 minutes à la cafétaria ou dans une chambre de malade reconstituée ridiculement, avec des actrices qui font plus dans le cliché à pouffer de rire que dans le réalisme de leur rôle d’infirmière.

Et c’est ça que les anti Besson primaires préfèrent ?

Autant Jean Reno joue professionnelement et sérieusement ses roles sans se prendre au sérieux comme un bouffonesque Delon ou autres acteurs nouvelle vague deux millesque qui se prennent pour des génies parce qu’il ont tourné un film sur la vie sexuelle de la femme de 50 ans qui se retrouve dans une maison de campagne avec deux de ses ex et patati et patata, aux égos qui emplissent la galaxie entière et arrivent à nous donner la nausée dès la première syllabe qu’ils prononcent.

Ne pas aimer Besson, c’est comme ne pas aimer le chocolat, la plage au soleil, Bach, les Pink Floyd, un week end avec son amoureuse...

Tiens, je parie même que Kubrik vous dégoute !

Ce serait bien dans votre genre.