@Juju
Je ne vais pas me farcir toute votre prose pro-islamiste.
Elle est certes bien rodée mais elle ne prend plus.
Vous êtes un sacré farceur avec vos références journalistiques et vidéo.
Le monde diplomatique dont la ligne éditoriale est épinglée pour plusieurs raisons que je vous livre ici (au faut vous pourrez toujours me parler de pluralité des sources d’informations quant vous n’en citez qu’une !, il semblerait que vous soyez juste un peu borgne et en plus atteint d’hypertrophie de la seule pupille qu’il vous reste !)
- Accusations de complaisance avec Fidel Castro
Philippe Val, rédacteur en chef de Charlie Hebdo et co-fondateur d’ATTAC, a accusé la rédaction du Monde diplomatique, et Ignacio Ramonet en particulier, d’une amitié avec les dirigeants Fidel Castro et Hugo Chávez.
- Au sujet du conflit israélo-palestinien, le Monde diplomatique a adopté une ligne très critique à l’égard de la politique de l’État d’Israël. En particulier, le journal reproche à ce dernier de ne pas avoir respecté les différentes résolutions du Conseil de sécurité et de l’Assemblée générale de l’ONU depuis 1947 ainsi que sa politique de peuplement des territoires palestiniens occupés.
Cette position est vue par certains comme une accusation à l’égard d’Israël d’être « l’unique responsable des problèmes d’une paix qui tarde à venir ». Le reproche est fait au journal de partager les vues pro-palestiniennes d’un certain nombre de personnalités qui interviennent régulièrement dans ses colonnes, comme le journaliste Michel Warschawski, la cinéaste Simone Bitton, le médecin et ancien président de Médecins sans frontières Rony Brauman, le journaliste Uri Avnery et l’historien post-sioniste Ilan Pappé.
- D’après Samuel Ghiles-Meilhac, beaucoup de collaborateurs du journal sont engagés dans le soutien de la cause palestinienne : Amnon Kapeliouk, Joseph Algazy, Michel Warchawski, Samir Kassir, Éric Rouleau, Edward Saïd, Étienne Balibar, Alain Gresh, Dominique Vidal et Serge Halimi.
- Au sujet du sionisme
Dans l’hebdomadaire Le Point du 3 octobre 2003, Alain Finkielkraut disait à propos du Monde diplomatique : « Pour Le Monde diplomatique et pour Télérama, tous les sionistes sont des chiens, presque tous les juifs sont des sionistes et donc des chiens, sauf Rony Brauman, ce juif qui sauve l’honneur. »
- Polémiques sur l’antisémitisme
Le magazine L’Arche dénonce l’attitude de l’association des Amis du Monde diplomatique pour son soutien au livre d’Alain Ménargues, Le Mur de Sharon, qu’il juge antisémite.
Quant aux autres accusations notamment sur les vols dans les musées, il faut un peu mieux vous renseigner.
- 1/ Les pillages dans les musées ont été réalisés par des habitants, à l’époque si vous n’aviez pas la télévision pour le voir alors que toutes les vidéos sont passées dans toutes les télés du monde, il faut vous en prendre à vos diffuseurs télévisuels si vous ne les avez pas vu.
- Toujours à propos des vidéos le film (my country, my country) voici ce qu’en dit film reporter : Durant les mois précédant les élections de Janvier 2005 en Irak, le film suit le Docteur Riyadh, fervent musulman et candidat sunnite.
Vous pourriez me rappeler qui sont les fervents musulmans sunnites ?
Un article sur ces fameux vols d’objets en dessous :
BAGDAD - La quasi-totalité des objets d’art d’une valeur inestimable que l’on croyait dérobés lors du pillage du Musée archéologique de Bagdad ont été retrouvés dans une chambre forte secrète, a annoncé l’administration provisoire américaine en Irak. Une équipe spéciale d’enquêteurs américains chargés d’évaluer le montant des pillages commis au musée lors de la chute du régime de Saddam Hussein en avril a conclu qu’environ 3.000 objets volés ou perdus manquaient toujours à l’appel sur les 170.000 initialement répertoriés. « En début de semaine, 179 caisses contenant la vaste majorité de la collection exposée au Musée archéologique de Bagdad ont été découvertes dans une chambre des coffres secrète. La découverte de ces caisses renfermant près de 8.000 pièces de la plus importante collection d’objets exposés du musée signifie que la mission des enquêteurs est sur le point de s’achever », a annoncé dans un communiqué l’administration américaine. L’incapacité des forces américaines à empêcher le pillage à grande échelle du Musée archéologique avait suscité à l’époque une levée de boucliers dans le monde des arts. Les généraux américains avaient fait valoir que leurs hommes étaient trop occupés à se battre dans les rues aux abords du musée pour mettre fin aux actes de pillage et de saccage. Mais bon nombre des objets d’art que l’on croyait volées ont finalement été retrouvés. Certains avaient en fait été mis à l’abri au domicile de membres du personnel du musée, d’autres ont été découverts cachés ailleurs, dont ceux trouvés dans la chambre forte secrète. LE TRESOR DE NIMRUD REFAIT SURFACE Dans un premier temps, le personnel du musée avait refusé de révéler l’endroit où se trouvait cette chambre forte jusqu’au retrait des forces américaines. Mais ils ont depuis changé d’avis. D’autre part, le célèbre trésor de Nimrud, l’ancienne capitale assyrienne dont le site archéologique est situé à 35 km de Mossoul, dans le nord de l’Irak, a été presque entièrement retrouvé dans un coffre inondé de la Banque centrale à Bagdad. Ce trésor fabuleux d’une valeur inestimable qui comprend des centaines de bijoux et de colliers en or a été récupéré ces jours derniers lorsque les enquêteurs américains et irakiens ont ouvert le coffre qui avait été inondé. « Toutes les pièces ont pu être sauvées et nous sommes en train de les examiner pour savoir si certaines ont pu être endommagées », a déclaré samedi à Reuters le gouverneur par intérim de l’institut d’émission, Faleh Salman. « En fait, on n’a jamais perdu le trésor de Nimrud, a assuré le gouverneur. Nous avons toujours su où il avait été stocké. Il a simplement fallu un peu de temps pour remettre la main sur lui en raison des inondations ». Au moment de la chute, le 9 avril, du régime de Saddam Hussein et du pillage des principaux musées de Bagdad, on avait craint pour le trésor de Nimrud, découvert entre 1988 et 1990 dans d’anciens tombeaux royaux situés sous un palais assyrien datant du IXe siècle avant notre ère. Mais les Américains ont par la suite appris que ces pièces avaient été mises à l’abri dans un coffre à la Banque centrale dès le début des années 90, probablement pendant la première guerre du Golfe de 1991. Le trésor de Nimrud y est toujours, même si la salle des coffres de la Banque centrale, dont le bâtiment a été incendié et pillé, a été inondée lors des derniers événements.
Andrew Marshall
Continuez votre propagande autant que vous le voulez, moi je continue à m’insurger contre ça :
Pas un petit mot pour souligner que défendre des populations innocentes dans tout votre texte ne fait que révéler le message que vous voulez passer. Pour moi c’est la seule chose qui compte ces innocents, ce qui nous différencie beaucoup. Personnellement, je vais continuer à chercher des écrits Irakiens qui ont les pieds dans la situation, pendant que vous continuez à lire vos journaux écrits par des types assis tranquillement derrière leurs bureaux.
Irakiens qui peuvent d’ailleurs compter sur votre solidarité pour les laisser crever pendant que vous lisez le monde diplomatique qui ne fait même pas une ligne sur ces attentats !!!!
Des fois que cela desserve sa noble cause de faux-culs !!!
19/09 15:20 - ZEN
C’était à prévoir... Les « chiens de guerre » de Blackwater haïs à Bagdad LEMONDE.FR (...)
27/08 21:06 - ZEN
25/08 20:57 - ZEN
Quoi ? Le Courrier International n’est pas un journal fiable ?...
25/08 18:28 - ZEN
Un écho à prendre en compte pour mieux comprendre la réalité du terrain : (...)
23/08 09:12 - ZEN
Ces votes négatifs ne sont pas vraiment gentils pour nos intervenants québecquois, Pierre A et (...)
23/08 01:11 - ju
@ Romain, « donc je pense qu’il est inutile de m’écrire, je ne suis pas certain de (...)
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