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Commentaire de claude

sur Dans l'exil, la liberté parle plus fort !


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claude claude 21 août 2007 20:10

cher furtif,

il pleut, il mouille ! c’est la fête à la grenouille !!!

ma lessive, elle sèche dans la buanderie ! smiley

concernant l’inconduite des julie (fille et petite-fille) d’auguste, voilà ce que dit suétone :

http://bcs.fltr.ucl.ac.be/SUET/AUG/trad.html (...)

LXV. Ses chagrins de famille. Les Julies. Agrippa

(1) Mais la fortune vint troubler la confiance et la joie que lui inspiraient ses enfants et la bonne tenue de sa maison. (2) Il exila les deux Julies, sa fille et sa petite-fille, qui s’étaient souillées de toutes sortes d’opprobres. Caius et Lucius lui furent enlevés dans l’espace de dix-huit mois, le premier en Lycie, le second à Marseille. (3) Alors il adopta dans le Forum, en vertu de la loi curiate, Agrippa, son troisième petit-fils, et en même temps son beau-fils Tibère. Mais bientôt le caractère bas et féroce d’Agrippa le détermina à le rejeter de la famille et à le reléguer à Sorrente. (4) Plus sensible au déshonneur qu’à la perte des siens, Auguste ne fut pas entièrement abattu par la fin de Caius et de Lucius ; mais il instruisit le sénat des motifs de sa conduite envers sa fille par un mémoire qu’il donna à lire au questeur en son absence. La honte le tint longtemps éloigné du commerce des hommes. Il alla jusqu’à délibérer s’il ne ferait pas tuer sa fille. (5) Ce qu’il y a de certain, c’est que, vers le même temps, une de ses complices, une affranchie, nommé Phoebé, s’étant pendue, il dit qu’il aimerait mieux être le père de Phoebé. (6) Il interdit à sa fille exilée l’usage du vin, et toutes les recherches d’une vie délicate. Il ne souffrit qu’aucun homme ou libre ou esclave, lui rendît visite sans sa permission, et par conséquent sans qu’il sût son âge, sa taille, sa couleur, tout jusqu’aux marques et aux cicatrices de son corps. (7) Il la transporta, cinq ans après, de son île sur le continent, et la traita avec plus de douceur. Mais on ne put jamais obtenir qu’il la rappelât entièrement. Comme le peuple romain redoublait d’instances pour solliciter son retour, il lui souhaita publiquement de telles filles et de telles épouses. (8) Il défendit qu’on reconnût et qu’on élevât l’enfant que sa petite-fille Julie avait mis au jour après sa condamnation. (9) Enfin il transféra dans une Île Agrippa, qui, loin de s’adoucir, devenait de jour en jour plus intraitable, et l’entoura de gardiens. Il fit même rendre un sénatus-consulte qui le confinait à perpétuité dans cet endroit. (10) Toutes les fois qu’on lui parlait de lui et de l’une des Julies, il s’écriait : « Plût au ciel que je ne fusse pas marié et que je fusse mort sans descendance », et ne les appelait jamais que ses trois plaies ou ses trois chancres.(...)"***

la succession des premiers empereur est une histoire de chaises musicale : une chatte y perdrait ses petits ! : http://www.empereurs-romains.net/emp06gen.htm

bonne soirée !


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