Concilier l’inconciliable, ouais, mais pourquoi pas l’inconciliable réconcilié, bref je ne crois pas que l’argent aurait pas si mauvaise réputation en France, si les exemples récurrents de nos élites, grand capitaine d’industries, et autres ne faisaient malheureusement la une, dans des gabegies ou excès de toutes natures, souvent au détriment des élus, les exemples sont légion de malversation, enrichissement personnel non mérité, qui finissent par lasser surtout venant des doctes personnes maître a penser qui devrait être un exemple de fierté pour la société civile, trop souvent enclin a travestir la réalité. La France crève de ses modèles a qui elle ne veut surtout pas ressembler.
Le libéralisme, le mot est lâché comme s’il suffisait de le prononcer pour que tout d’un coup nos maux, nos angoisses enfoui au plus profond pouvait s’envoler. Il doit faire ses preuves sans étique, sans règle du jeu, sans contrat moral, ce libéralisme la les francais ne l’accepterons pas, et c’est tout a leur honneur, alors que le reste du monde s’y est converti contraint, et forcé, ce modèle néo-libéral qu’on nous a vendu comme étant la panacée, mais avons nous eu le choix, entre le libéralisme et le néant que l’on nous promet.
Un modèle alternatif existe sûrement voie royale de la paix sociale retrouvée, par un dialogue de vérité, oublié la langue de bois une éthique responsable est plus que souhaitable, l’heure de l’exemplarité a sonné car il faut que nous sortions ensemble de tous ses problèmes, mais la volonté est t’elle la ! espérons que ca ne soit pas une simple figure de rhétorique.
La contrition pour le medef n’aura de valeur que si elle est ressentie comme les stigmates des errements passés, saura t’il se tourner résolument vers l’avenir avec un modèle alternatif viable, ou l’être humain serait avec l’entreprise au centre d’un procès bien défini, je crains que si nous retrouvions pas ensemble le chemin de l’apaisement et du dialogue social partagé, alors la confession n’aura servi à rien.