En ayant une vision purement macroéconomique, on peut dire que la France s’enrichit (car le PIB augmente, même s’il n’est « que » de moins de 2%).
Par contre, la redistribution de ces richesses doit être un élément de réponse à creuser, et finalement à régler.
Il est un fait qu’une vision purement quantitative, n’aura pour seule conséquence, que de se balancer des chiffres à la figure, et d’en dire ce qu’on veut.
Par contre une vision, plus qualitative nous permettrait d’appréhender des éléments qui semblent complexes.
Toujour est-il, que depuis la chute du mur de Berlin en 1989, et son corrolaire la fin du communisme, le capitalisme se retrouve sans véritable concurrence. Ce qui nous amène à une société mondialisée et financiarisée à outrance où, le court terme entre des mains minoritaires, est la règle au détriment de l’intérêt général.
Malgrès les richesses produitent et la qualité du personnel, les financiers sont entrains de détruire ce monde, révèlent aux yeux du monde que nous sommes en face de la pire perversion du système capitalisme, où l’homme n’est plus au centre des préoccupations économiques.
Il devient urgent, il me semble de procéder à des politiques dit de grand travaux, où la finance serait un moyen, mais pas une fin, et que les prix des biens tiennent compte des réalités du terrains et non un moyen de faire plier des peuples en spéculant sur tout...
Maintenant, est-ce une vision utopique ou réalisable mais dans la douleur ? ...... l’avenir nous le dira.